Les salariés du groupe et parmi eux les 3500 travailleurs d'Aulnay (93), ont raison de refuser cette perspective. D'autres choix sont possibles, à condition de vouloir préserver à ce groupe sa vocation industrielle pour produire des véhicules et répondre aux besoins populaires. Je continuerai d’agir aux côtés des salariés dans ce sens et en appelle désormais au premier Ministre puisque jusqu’ici nous avons eu beaucoup de bruit pour rien de la part du Ministre de l’Industrie, Monsieur Besson ! Le temps est venu pour le gouvernement de prendre enfin ses responsabilités etpeser sur la direction de PSA en faveur de l'emploi et du devenir industrielde notre pays.