Genre: Seigneur, pardonnez-moi !
Durée: interminable.
Année: 2001.
L'histoire: Cruella est toujours à l'asile (restes-y !) mais un nouveau traitement lui est donné. Ce qui fait qu'elle adore les dalmatiens.
Elle est alors adorable (et surtout gaga des îles !) et a une merveilleuse assistante sociale qui a... des dalmatiens (plus con que ça tu meurs !). Mais Cruella a une mèche qui part (si, si je ne déconne pas) et redevient celle qu'elle était autrefois...
La critique de Borat
OH MON DIEU ! (10 minutes plus tard) Bon reprenons nos esprits après avoir repensé à cette horreur en la voyant dans mon sac classé nanars, navets et autres merdes en tout genre. Pour vous dire qu'est-ce que j'en ai à faire de ce film ?
102 Dalmatiens est donc une suite au remake de Disney en 1996 de leur dessin animé. Evidemment, ils ont repris Glenn Close qui était plutôt bonne dedans. Mais arrive alors Alice Evans, pseudo actrice (plutôt mannequin) qui a atterri dans le MAGNIFIQUE Ma femme s'appelle Maurice, Ian Gruffudd, le Mr Fantastique aussi charismatique qu'une serpillière et surtout, surtout... Depardieu !
Dans ce film, il nous offre le meilleur, le nirvana, le meilleur rôle de sa carrière... Vous y avez cru hein ?! Dans ce nanar, il est ridicule, con, mal rasé, avec une coupe affreuse, un slip léopard ridicule et des costumes qui feraient faire une crise cardiaque à Karl Lagarfeld ! Et puis quelle histoire ! Alala que c'est nul à chier, mal foutu, caricatural, et surtout à se foutre en l'air. Comme cette scène où un homme joue à la corde avec un chien ! Vous aviez bien dû le lire en haut, mais c'est catastrophique.
Voici encore une production naveteuse d'un studio en grande perte. Franchement affligeant pour la vue, une honte pour le cinéma.
Vous voulez devenir gaga ? Regardez les 102 dalmatiens et vous comprendrez.
Note: cette bouse n'est pas notable!