Nous utiliserons le terme de « pollutions énergétiques » au fil de ces différents articles, non dans le sens péjoratif mais simplement parce qu’elles ne sont pas d’un point de vue énergétique, bénéfiques pour l’humain. Les plus couramment rencontrées en géobiologie sont par exemple celles du « siècle » les ondes électromagnétiques, mais d’autres encore, plus insidieuses touchent directement les couches subtiles de notre corps ou de notre lieu de vie. Sans ordre de préférence, nous pouvons citer les âmes humaines, les entités (non humaines), les formes pensées, les égrégores, et d’une manière plus environnementale la mémoire des murs, la magie etc… D’autres phénomènes, plus telluriques comme les « gros » croisements négatifs ou positifs de réseaux, les vortex, cheminées cosmotelluriques, failles courants d’eau etc… peuvent apporter des perturbations importantes mais ne seront pas traités pour le moment. Ce premier article traite des âmes humaines, suivront les entités, formes pensées, mémoires des murs etc….
Les changements actuels et la fréquence de la Terre qui augmente provoquent des bouleversements énergétiques chez la plupart d’entre nous. Il y a des prises de conscience mais aussi des états de fragilisation dont peuvent parfois profiter une âme humaine ou d’autres « pollutions » qui accentueront la fatigue, ou un état de mal-être.
Inutile de préciser que tous les cas cités ont été rencontrés lors de différentes harmonies.
Les âmes humaines sont, comme leur nom l’indique, des âmes qui pour une raison quelconque n’ont pu monter dans la lumière après le décès. Cela peut sembler étrange mais l’âme ignore parfois qu’elle n’a plus de corps charnel, suite à un brusque accident par exemple, qu’elle ne s’est pas « vue » mourir. La crainte de l’après-vie, le jugement Divin possible, le fait d’être attachée à un lieu, une personne vivante qu’elle ne veut pas quitter, une mission à accomplir, un message à donner, ou tout simplement l’envie de continuer à goûter les plaisirs de la vie… peuvent faire qu’une âme normalement destinée à évoluer va rester parmi le monde des vivants.
Encore tout récemment au cours d’un repas, une des personnes présentes nous faisait part d’une désagréable expérience. Du jour où elle habita avec son époux une certaine maison, rien n’alla plus dans leur vie. Les catastrophes en tout genre se succédèrent jusqu’à leur départ définitif. Elle apprit par la suite que ce phénomène était récurrent pour tous les locataires successifs depuis la mort par pendaison d’un homme dans une des pièces de la demeure. A l’époque, ce couple n’avait pas cherché à comprendre la raison pour laquelle il s’était retrouvé dans cette situation. Inutile de préciser que l’âme de cet être n’avait nullement transmuté et restait encore présente dans les murs au détriment certain des vivants.
A suivre…
Jean Renault