Lyon, au faîte de sa lumière

Publié le 11 décembre 2011 par Decrauze

Lyon depuis la place de Fourvière


Et les lumières fusent…

Passerelle du Collège

Faire abstraction de la multitude dans ses artères et absorber les projections lumineuses. Initiation à l’esthétisme d’une ville réinventée : des myriades de flammes du Huit aux ballets de couleurs sur bâtiments transmués, les sens exaltent.

Parc de la Tête d'Or

J’entame par du grillage à poules, aux abords du lac de la Tête d’Or, pour un irréel vaporeux. J’effleure ensuite la crinière du cheval échappé de la fontaine Bartholdi, puis je grime vers la façade fraîchement restaurée de la Saint-Jean. D’une rive l’autre, les passerelles dévoilent leurs charmes : celle du Collège pour un soir pyrotechnique, celle de la Justice pour des feux de la rampe orchestrés sans fausse note.

Passerelle de la Justice

Sous la bénédiction bleutée d’une basilique en suspens, les quartiers de Lugdunum s’illuminent et la pleine lune se devine, comme un signe céleste.

Lyon depuis la place de Fourvière

Une, deux, trois lumières ! Ne bougeons plus, la féérie s’opère...

Primatiale Saint-Jean












Passerelle du Collège













Place des Terreaux

Théâtre des Célestins











Primatiale Saint-Jean



















Place de la République


Cathédrale Saint-Jean











Parc de la Tête d'Or













Lyon depuis la place de Fourvière

Victoire des lumières ?

(Photos par Loïc Decrauze)

Pour revenir au pamphlétaire pur jus, bien sombre, lire les quelques lignes consacrées au "Nationalisme social" dans Viser la tête !