Tétanos, supercherie ou pas? La balance risques/bénéfices du vaccin anti-tétanique.

Publié le 18 décembre 2011 par Plusnet

Le tétanos ne se transmet pas d’homme à homme, il n’est pas contagieux.
Le tétanos n’est pas non plus une maladie immunisante: une personne ayant attrapé cette maladie peut la refaire une deuxième fois. 
Puisque un malade guéri du tétanos n’est jamais immunisé, comment un vaccin peut il protéger de la maladie? 
Le grand public estime que n’importe quelle plaie peut entraîner la maladie. C’est inexact. On trouve le bacille sous forme de spores dans la terre et les excréments des herbivores. Mais pour déclencher la maladie, il faut que ces spores soient en milieu anaérobie (exempt d’oxygène). 
La multiplication bactérienne du tétanos ne se faire que dans un tissus sans oxygène. Or, les tissus humains sains sont normalement oxygénés car ils sont vascularisés, ce qui entraîne instantanément la mort des bactéries. 
Il est donc impossible de trouver le bacille du tétanos dans des tissus humains normaux
C’est une des raisons pour lesquelles l’incidence des décès dus au tétanos se situe chez les personnes âgées atteintes de maladies provoquant la nécrose des tissus et donc, des milieux anaérobies. 
« Le tétanos. Cette maladie n’est pas due à un virus, bien sûr, mais à une bactérie. 

Sa mortalité dans nos pays est infime, avec une moyenne d’âge de 79 ans en France, âge où la vascularisation des tissus est très réduite. Les Chinois ont fait diminuer de 90 % la mortalité par tétanos néonatal par une hygiène stricte de l’accouchement. De 1969 à 1985, dans les 106 cas de tétanos déclarés en Finlande, soit une incidence annuelle de 0,13/100 000, 66 % étaient vaccinés. »Dr Françoise BERTHOUD, pédiatre homéopathe (2009).
Est- ce une pratique médicale sensée que de risquer de graves effets secondaires en se soumettant à une vaccination inefficace afin d’éviter une maladie qui ne surviendra probablement jamais?
Dr Kris GAUBLOMME
Le vaccin anti- tétanique est probablement le plus inefficace de tous les vaccins proposés au public. On peut même parler de Placebo. Mais un placebo aux effets secondaires dévastateurs: - choc anaphylactique (s’il y a bien un vaccin à administrer avec adrénaline dans la poche, c’est celui- là)- syndrome de Lyell (la chose la plus effroyable à laquelle j’ai pu assister dans ma carrière)- urticaire, asthme, encéphalite, Guilain-Baré, syndrome de Landry, épilepsie, ,trouble de la coagulation, douleurs articulaires, névrites, complications cardiaques, forme atténuée de tétanos…
Son inefficacité tient à la particularité du microbe et de sa toxine à survivre qu’en milieu anaérobie (sans oxygène) alors que les anticorps humains (naturels ou vaccinaux) ne peuvent survivre qu’en milieu aérobie (oxygéné).  « Le système immunitaire se trouve entièrement dans la circulation sanguine, dans le sang. Aussi bien les cellules qui forment les anticorps que les anticorps eux- mêmes appartiennent au monde aérobie. Tout le langage du système immunitaire appartient au monde aérobie. Le transport des anticorps se fait entièrement et uniquement dans la circulation sanguine et lymphatique, c’est-à-dire en aérobiose. Les plaies tétanigènes sont nécessairement et obligatoirement anaérobies donc les microbes et la toxine du tétanos et les anticorps ne peuvent en aucun cas se rencontrer. Il est absolument impossible que les anticorps vaccinaux rencontrent le bacille ou sa toxine ». 
Dr Méric, « Vaccinations, je ne serai plus complice! »
paru en 2004 
Les vaccinalistes rétorquent à cela que la toxine doit bien sortir de la plaie pour attaquer le système nerveux central et causer paralysie puis décès. C’est à ce moment- là que les anticorps vaccinaux peuvent jouer leur rôle. 
Malheureusement, c’est judicieusement pensé mais… pour sortir de la plaie, la toxine emprunte les voies nerveuses axonales, elles aussi inaccessibles aux anticorps…A aucun moment, on ne retrouve d’anticorps antitoxine ou antibacille dans le sang des victime, ce qui prouve que le système immunitaire du patient n’est jamais en contact avec la toxine/ le bacille. 
Les vaccinalistes expliquent cette absence d’anticorps en disant que la toxine est si puissante qu’elle entraîne la mort avant que la rencontre ai pu se faire. 
Oui… mais… toutes les victimes du tétanos ne meurent pas. Et on ne retrouve pas non plus d’anticorps dans le sang des très nombreux rescapés… 
Comment, dans ces conditions, les anticorps post- vaccinaux pourraient- ils protéger contre la maladie? Ils ne le peuvent pas. C’est un vaccin inefficace et inutilement dangereux. 
« Le vaccin anti-tétanique n’empêche pas de contracter la maladie parce que de nombreuses personnes l’ont contractée après avoir été vaccinées. De plus le vaccin anti-tétanique est fabriqué avec du sérum de cheval, or les colibacilles humains ne sont pas les mêmes que ceux du cheval et ne produiront donc pas d’antitoxines spécifiques de l’homme. Toutefois, il s’avère que le vaccin anti-tétanique offre de tels effets secondaires, notamment des allergies, que le patient devient de plus en plus prédisposé, au fur et à mesure des rappels, à des crises de tétanies « bizarres » de causes idiopathiques [inconnue] qui déroutent la plupart des médecins et sont simplement soignées à coup de piqûres de calcium, déséquilibrant encore un peu plus la physiologie du patient (prise de poids, hyper calcifications atopiques, etc.). »
Annales de l’Institut Pasteur, vol. 120, p. 791, 1991, avec des articles de Bizini, Turpin, Raynaud (Ref. de JAUA, New England Journal of Medecine, British Med H.).
Pendant la deuxième guerre mondiale, l’armée française était la plus vaccinée des troupes alliées avec plus de 4 millions de vaccinations entre 1936 et 1940. Pourtant, le taux de morbidité tétanique pour 1000 blessés est resté rigoureusement le même pendant la guerre qu’avant 1936.
Dans l’armée grecque, non vaccinée, la fréquence du tétanos a été, pendant cette même période, 7 fois moindre que dans l’armée française. Dans l’armée US, il y eu 10 millions de mobilisés, 500 milles blessés et 12 cas de tétanos. 6 étaient des personnes vaccinées. 
L’UNICEF a acheté 4,3 milliards de doses en 15 ans sans faire diminuer le moins du monde l’incidence de la maladie…  L’intoxication vaccinale, Fernand Delarue, Le Seuil 1977Après la 2e guerre mondiale, le Docteur Neveu et le Professeur delbert ont travaillé sur les traitements à apporter aux infections telles que diphtérie, tétanos et polio. Leurs recherches les amenèrent à découvrir qu’une injection intraveineuse lente de 5g de chlorure de magnésium dans 20 ml de sérum physiologique guérissait des malades alors tellement atteints qu’on les pensait condamnés. 
Mais en 1944, l’Académie de Médecine française refusa de publier leurs résultats:« La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’académie a trouvé, après 6 mois de réflexion, l’argument suivant: en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait la vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations ». 
Échange épistolaire entre le Dr. Neveu et le Pr. Delbert (1)« Diphtérie, tétanos, polio ? Si ces maladies devaient à nouveau se manifester, il faudrait sortir de l’anonymat dans lequel il a été maintenu, le traitement Delbet-Neveu- Fumeron par le chlorure de magnésium. »
Michel GEORGET, Biologiste, dans Vaccinations, les vérités indésirables, 2009.
La diphtérie n’est pas en reste non plus… 
Il y avait en Norvège, en 1919, 16000 cas de diphtérie. Alors que ce pays vaccinait peu, ce chiffre est tombé à 54 en 1939. 

Pendant la seconde guerre mondiale, les campagnes de vaccination anti- diphtérique s’accentuèrent en Norvège aussi. On décompta, en 1943, à la fin de la guerre, pas moins de 22000 cas, soit 6000 cas de plus qu’en 1919…. Quant au vaccin contre la coqueluche, la littérature scientifique atteste que c’est le plus dangereux de tous. Au cours des années, on a pu lire dans des revues spécialisées comme Le Généraliste (26/02/1977); le British Medical Journal n°282 (1981), le Journal de Pédiatrie n°4 (1989) et Jama vol 271 (1994) que ce dernier provoque des complications neurologiques telles que convulsions, atteintes cérébrales permanentes, encéphalites, épilepsie, lésions neurologiques graves… Le Généraliste écrivait « On peut estimer que la vaccination contre la coqueluche est aussi dangereuse que celle contre la variole » mais les médecins et les instances de santé continuent à nier les risques de la vaccination… « Sur les 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux Etats-Unis avec le DCT, 16 038 manifestèrent des crises aiguës et des pleurs persistants – ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l’indication d’une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions ; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant l’injection du DCT. »
Dr Allan HINMAN et Jeffrey COPELAN (Journal of the American Medical Association).« 2/3 des 103 enfants décédés de la mort subite du nourrisson avaient reçu le vaccin D.T.P. dans les 3 semaines précédant la mort. Certains même étaient morts le lendemain. »
Dr William TORCH (Neurology, 1982).
« Le pire vaccin de tous est celui contre la coqueluche. (…) Il est responsable d’un grand nombre de morts et d’un grand nombre de dommages cérébraux irréversibles chez les nouveau-nés. »
Dr KALOKERINOS (Sunwell Tops, 24 mai 1987).
De plus, comme tous les autres vaccins du marché, celui- ci ne peut pas, non plus, prouver qu’il ai eu la moindre incidence sur la diminution de la maladie…
 « Il y avait un déclin continu [de décès dus à la coqueluche], égal pour chaque sexe, à compter de 1937. La vaccination, commençant à petite échelle à certains endroits autour de 1948 et à l’échelle nationale en 1957, n’a pas affecté le taux de déclin si on suppose qu’une attaque confère habituellement l’immunité, comme dans la plupart des maladies d’enfance contagieuses. […] Avec ce modèle bien établi avant 1957, il n’existe aucune évidence que la vaccination ait joué un rôle important dans le déclin de l’incidence et de la mortalité par rapport à la tendance [naturelle] des évènements
The Lancet, 1977 par le Département de Médecine Communautaire, en Grande- Bretagne.
Les chercheurs qui s’écartent de la voie autorisée sont condamnés, depuis longtemps, au silence.

D’après « les 10 plus gros mensonges sur les vaccins »; Sylvie Simon, Editions Dangles

 Source: Notre projet de vie