Taxi Driver, version Gondry

Publié le 19 décembre 2011 par Didier Vincent

Suéder un film, c'est un dogma. Une Harry Cover. Une mise en abyme polichinelle faite de bouts de ficelles usés jusqu'à la corde. Un rire de geek faciétieux aux films cucultes qui tapissent ses murs imaginaires de la piaule d'ado qu'il n'a jamais quittée, même en trip. C'est sans doute un rejeton de Andy Warhol et de John Waters, ce cinéma underground américain des années 70 qui foudroyait les canons de Hollywood pour fonder un certain cinéma indépendant.

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