Le traditionnel crochet par Bangkok

Par Laboiteavoyage @laboiteavoyage

Plus d’un mois que nous sommes rentrés et je ne vous ai pas encore raconté notre dernier voyage.
Voici en introduction un tout petit article, le reste suivra au fur et à mesure. Sulawesi 2011, c’est par ici !

Comme chaque année nous arrivons à Bangkok un vendredi. Ça nous permet de passer le week-end avec Éric et Mimo, nos amis français installés là-bas depuis quelques années, et de faire notre désormais rituel passage au week-end market.

Depuis le temps, Bangkok a ce côté dépaysant sans l’être tout à fait. Dès qu’on atterrit, on déconnecte tout de suite de notre monde. Et en même temps on retrouve nos repères. Les chauffeurs de taxi qu’il faut forcer à mettre le compteur. Les taxis multicolores. Les pastèques et ananas frais dans la rue. Les Seven Eleven ouverts toute la nuit, les massages une ou deux fois par jour. Bangkok c’est un peu notre chez nous à l’autre bout du monde. Et on est content d’arriver chez nous.

Mais cette année, il y a une nouveauté : Guillaume, l’ami d’enfance de Jean-François, a décidé de s’installer un mois à Bangkok pour s’essayer à la vie locale, en dehors de tout contexte touristique.

Il s’est loué un petit studio à Ari, un quartier en plein essor situé au dans la partie nord-ouest de Bangkok, où les habitudes sont effectivement très locales et les touristes peu nombreux.

A la fin du mois, il nous rejoindra à Sulawesi pour deux semaines de vacances.

Que dis-je, il y a deux nouveautés : Thibaut, mon ami steward chez Air France, est aussi de la partie. Par le plus grand des hasards il est de service sur le vol Paris-Bangkok du vendredi, et nous rejoint donc le samedi.

Sympa de se retrouver tous là-bas. Sauf que, la soirée du vendredi ayant été à la hauteur de la joie des retrouvailles, nous ne sommes pas en grande forme à l’arrivée de Thibaut…

Bref, vie en tongs, massages, cuisine thaï, soirées bien arrosées, shopping de t-shirts pour les garçons au week-end market. On aime cette sympathique façon de se mettre en jambes avant de s’envoler vers l’Indonésie.