Des siècles annoncaient sa naissance,
Comme une évidence au creux de chaque conscience,
Il devait venir,
L’ultime témoin de l’essentiel,
Quand,où,les plus sages sauraient le reconnaître,
En lui l’espérance,
Il dirait la divine vérité,car divin lui-même,
Affirmerait que tous nous le sommes,
Voudrait que nous retrouvions la mémoire éternelle,
Pour l’heure,il n’est qu’un faible corps,
Nourri par la pureté maternelle,
Cet autre divin destin féminin qui guidera ses premiers pas,
Désormais des générations se rassembleront pour fêter son souvenir,
Pour célébrer le sel de son message,
L’amour guérisseur de toutes les peines,
Le pardon fraternel.