The Facebook Effect

Publié le 29 décembre 2011 par Didier Vincent

Tiens, pourquoi j'écris en anglais ? Bon : l'effet Facebook. Ben c'est encore en anglais !

Les Facebooks de filles sont comme le contenu de leur sac à main, indéchiffrable parfois, trop évident à d'autres. Bref, c'est un grimoire farci d'individualité et de mode. Or, la mode, c'est de compiler un tas de photos avec la bouche en rond comme celle des poissons et de monter ça à l'arrache avec du photophiltre d'amour tout plein de cœurs roses. Double effet qui se coule.