Armé d’une simple guitare, Kronem se revendique de Fugazi pour son approche frontale et sans fioriture, de Neil Young pour l’introspection en solitaire ou de Pearl Jam pour un certain lyrisme des mélodies vocales, mais difficile de ne pas penser également à Kurt Cobain au regard du timbre à la fois rauque et sensible du Parisien, qui signe ici son premier long format après l’EP MonkeyWrench en 2009.
Sur la Bulle, on avait adoré son album Pocahontas. Cette voix si touchante et ce beau mélange entre le calme et le bruyant, très saisissant ! Un aspect décalé et un artiste sincère, talentueux et qui nous offre avec Pocahontas un bien joli bijou sonore pour nos oreilles.
En attendant la publication de l’interview, voici quelques photos de la collection automne&hiver by Kronem
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