Déjà vertement contestée sur la Toile, notamment par les redoutables activistes virtuels du groupe Anonymus qui ont entrepris de lancer des cyber-attaques contre les tenants de cette offensive, la fermeture de ces sites est assortie de poursuites au criminel: sept personnes risquent jusqu’à vingt ans de prison. Parmi les accusés, on trouve le fondateur de Megaupload, l’Allemand Kim Schmitz alias Kim Dotcom, arrêté en Nouvelle-Zélande.
Cette riposte survient au lendemain d’une journée «écran noir» aux USA, menée par moult fournisseurs de services immensément populaires dont Wikipédia, afin de protester contre des projets de loi anti-piratage répressifs (SOPA /PIPA) dont nous avons parlé plus tôt cette semaine.
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