Dinocrocodile (2004) de Kévin O'neill

Publié le 29 janvier 2012 par Flow

 

 

 

Dinocrocodile. (réalisé par Kevin O'neill)

Le principe du paresseux ordinaire.

Bof, un nanar bien ordinaire. Un monstre, des boulets et des situations déjà-vues. A éviter.

 

La (z)histoire (car il en faut bien une).

Un laboratoire fait des expériences bizarres afin de lutter contre la fin dans le monde. Enfin je crois. Je ne sais plus et je n'ai aucune envie de chercher. Faut pas trop m'en demander quand même. Je ne suis pas votre esclave bande de paresseux!!!

 Et ça donne ça...

 

Un monstre, un gosse sans tête, un chien trijambiste, un couple plat et une salope.

Roger Corman ne s'est vraiment pas foulé pour produire cette merde. Un budget ridicule alloué à la création d'un dinocrocodile. Oui, oui. Il bouffe des gens, la salope veut couvrir l'affaire (je vous laisse deviner ce qui lui arrive à la fin) et appelle Crocodile Dundee qui va au bar au lieu de chasser la bête. Normal. Pendant ce temps, le couple baise alors que le gosse se fait décapiter (comme quoi Von Trier n'a rien inventé avec son Antichrist). Tout le monde est triste, blabla, on boit, blabla, on veut se venger, blabla. Le dino attaque une plage en copiant Jaws, blabla. Du déjà-vu pas assez drôle hélas.

La salope enfin punie!

Ambitions nanardesques.

Le seul truc hallucinant est une séquence musicale ambitieuse qui met en scène un montage montrant le blues des personnages à différents endroits de la ville. Comme dans les vrais films. Ça ne rigole plus putain!

Le gosse décapité. Choquant!! 

Un nanar pas assez nanardeux. Dommage, il y avait de quoi entre les acteurs ratés, les décors en carton et les SFX pitoyables.

Note:

 

 

Il ressemble à Scrat, non?