. Sarko et l’école du recrutement obligatoire
« Pour vivre heureux, vivons cachés », dit le proverbe. Proverbe que Sarko s’efforce de mettre en pratique dans le cadre de sa « non candidature » à sa propre succession. Sa cellule de campagne, campagne financée avec les deniers publics, ce qui est en soit un déni de démocratie, a pensé que cette stratégie peut s’avérer payante en créant du bruit autour d’un no-événement… Pour l’instant l’effet est inverse et finit même par lasser les partisans les plus dévoués.
Au plus bas dans les intentions de vote, il multiplie les coups bas pour empêcher le Front Nat de Marine d’obtenir les parrainages afin de lui chourer des voix. La chose fait du bruit et, sur le terrain, les « électeurs de Le Pen » (un électorat plutôt volatile que nous pouvons trouver tantôt votant pour Le Pen, tantôt pour le Parti communiste…) envisagent par mesure de rétorsion de se tourner vers… François Bayrou ! (lire la suite sur ruminances)