Des fictions jeunesse dans le monde de la moto

Publié le 24 février 2012 par Teamvivia56

J’ai promis de vous présenter ici des romans sur fond de sport et/ou de légendes, mais aussi de vous offrir des nouvelles gratuites.  

Voici donc aujourd’hui des liens gratuits vers deux nouvelles publiées en 1972 dans un recueil intitulé 15 Histoires de moto et édité par les Éditions Gautier Languereau.   Les auteurs de ces textes étaient tous très jeunes. Ils étaient les lauréats d’un concours organisé par Gautier Languereau et le magazine Champion. J’ai fait partie des co-lauréats, tout comme Luc Sarlet. Nous avions tous les deux installé nos scenarii dans l’univers de la compétition.  

J’ai mis mon texte en ligne sur mon autre blog, Circuit Mortel, à la fin de l’année 2009. Je l’ai illustré avec des photos d’époque. Il s’intitule Dures lois du cross. Je vous invite à le découvrir en cliquant sur :

http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2009/12/26/dures-lois-du-cross.html

Luc Sarlet a eu la même idée et diffuse son texte (également illustré) sur le blog Lukaz photo où il présente aussi son activité de photographe. Alors, restez au bord de la piste avec son héros :

http://lukaz-photo.com/archives/115  

Le temps a passé depuis ce concours qui reste un souvenir sympa. Luc et moi, qui ne nous connaissions pas car Gautier Languereau et Champion n’avaient pas organisé de cérémonie de remise des prix ni de manifestations où les jeunes auteurs se seraient rencontrés, avons tous les deux pratiqué des sports mécaniques en compétition. Nous étions d’authentiques passionnés, lui de moto, moi surtout d’automobile mais j’adorais aussi les bolides à deux roues. De telles passions ne s’oublient jamais. Heureusement d’ailleurs. Ce serait triste de renoncer à ce qui nous fait vibrer.

Si tu ne renonces jamais à rien,

Tu ne vieilliras pas c’est certain,

chanta Mort Shuman.  

J’adore ce texte, porteur d’espoir et de rage de vivre. Certes, la vie nous contraint à des concessions. Alors, à défaut d’aller encore chercher les derniers centièmes de secondes qui assurent les podiums en compétition, je vis désormais ma passion autrement, notamment en rédigeant des biographies et des fictions où les sports mécaniques sont présents. Ce sera le cas dans un roman jeunesse teinté de fantastique qui verra le jour en 2012 ;

http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2011/12/15/mont-dore-1977-des-souvenirs-au-projet.html

Les légendes et superstitions sont très présentes dans ce roman qui s’intitulera LE PACTE DU TRICHEUR. D’ailleurs, le livre se terminera par une annexe rapportant d’incroyables histoires de superstitions, les croyances de pilotes mythiques, celles de grands animateurs de la F1 d’aujourd’hui, et la terrifiante histoire de la Porsche de James Dean… Parmi les anecdotes véridiques rapportées, un rite de Valentino Rossi.Lorsqu’il mettait une combinaison neuve, il se roulait avec sur le goudron afin de montrer au cuir à quel point le bitume était dur. Mais un jour, il chuta avec une combinaison qu’il avait étrennée de cette manière. Il considéra alors que le rite ne fonctionnait plus et l’abandonna.  

En attendant, vous pouvez aussi lire sur ce blog quelques histoires mettant en scène Ronan, futur pilote moto et auto impétueux, fou de sport et sensible au charme des jolies filles :

http://polarssportsetlegendes.over-blog.com/article-premiere-sortie-de-piste-pour-ronan-86011129.html

et

http://polarssportsetlegendes.over-blog.com/article-une-dame-un-chapeau-une-dauphine-92333449.html

Un dernier lien pour conclure, vers « Tais-toi », une autre nouvelle écrite par Sébastien Sarraude qui est un des auteurs des NOIRES… plein PAU que j’ai récemment présentées. Cette foi, Sébastien revisite l’histoire de la seconde guerre mondiale. Il n’est pas question de sport automobile, mais les moteurs ne sont pas absents du scénario. La chute est surprenante. A lire sur :

http://www.gimont-aero.com/9e818f6d-ed91-47a8-8640-9e240662e019.res

(il faut télécharger le texte et vérifier la composition des pages pour le lire, mais ça vaut le coup, je vous assure).

Thierry Le Bras