« D’un point de vue géographique, on peut difficilement faire plus proche. Les deux stades qui bordent le même fleuve (la Mersey) sont distants l’un de l’autre de moins d’un kilomètre. A Liverpool, les familles supportent un des deux camps et transmettent cet héritage de génération en génération. Quand tu montes dans un taxi à Liverpool, tu sais très vite si le chauffeur supporte les Rouges (Liverpool) ou les Bleus (Everton) » explique-t-il sur le site officiel de l’ASSE.
« Il a toujours un autocollant ou un objet à l’effigie de son club. C’est une vraie culture. Sur le terrain, c’est un match encore plus engagé que d’habitude. Ce qui m’a marqué, c’est la dimension physique et athlétique de ces matches-là. Il y avait beaucoup de duels, d’impacts… d’autant, qu’à mon époque, Liverpool et Everton étaient en haut du classement » a-t-il ajouté.