Allergies aux pollens

Publié le 26 avril 2012 par Sophielaurerenee

Mon mari était allergique aux pollens, c'est à dire que les tests cutanés y étaitent positifs. Depuis qu'il a réduit sa consommation de laitages et de gluten, il n'a plus de rhinite allergique.

Extrait de la revue mediscoop du 23 avril 2012

« Premier tour - aussi - pour les pollens ! »
Le Point, Sciences et Avenir, France Soir
Anne Jeanblanc note en effet dans Le Point que « sur les 10 pollens candidats présents lors de ce premier tour de l'élection présidentielle, seuls 2 remportent une majorité des suffrages : ceux de chêne et de bouleau ».
La journaliste indique que « lors d'éclaircies venteuses, ils provoqueront un risque allergique moyen, mais quand même localement élevé. Mais les pollens de bouleau seront de moins en moins présents, tandis que la pollinisation du chêne continuera encore quelques semaines ».
Anne Jeanblanc fait savoir que le Réseau National de Surveillance Aérobiologique publie la carte de ces pollens sur le territoire français, et explique notamment que « les modèles prévisionnels reculent l'arrivée importante des pollens de graminées sur les villes de Toulouse et de Lyon aux alentours du week-end du 1er mai, du fait des conditions météorologiques défavorables. Ces derniers sont déjà présents en faible quantité de la façade atlantique à la côte méditerranéenne ».
« Les allergiques sont sans doute parmi les premiers à se réjouir des conditions météorologiques actuelles. Elles leur ont permis de respirer un peu, mais ils doivent rester vigilants si ces dernières s'améliorent. Ce que la majorité des Français appelle de ses vœux », continue la journaliste.
France Soir relève également que le RNSA « vient de publier son dernier bulletin qui confirme que les pollens de bouleau et de chêne seront les plus dangereux. Mais les autres pollens sont aussi présents sur tout le territoire. Allergiques, restez vigilants ! », conseille le journal.
Sciences et Avenir annonce de son côté que « la quantité de pollens dans l'air augmente partout en Europe, et plus vite dans les villes que dans les campagnes », selon une étude parue dans PLoS One.
Le magazine indique qu’« une équipe européenne coordonnée par Annette Menzel, de l’Université technique de Munich (TUM, Allemagne), a analysé les concentrations de pollens relevés dans 97 stations à travers 13 pays d’Europe. Ils ont comparé les index annuels de pollen sur les 10 dernières années et ils constatent que la tendance est à la hausse. Plus 1% par an à la campagne, plus 3% par an dans les villes ! ».
Sciences et Avenir explique que « la cause première de cette évolution serait la hausse de CO2 atmosphérique liée aux activités humaines. Des expériences menées en laboratoire ou en plein air ont montré que la hausse du CO2 atmosphérique stimulait la croissance de la plante et donc sa production de pollens ».