« Il y a quelques semaines encore, dans l'hôpital pillé et déserté par son personnel, il n'y avait ni eau ni électricité, faute de carburant pour alimenter le générateur », explique Attaher Maiga, chef du bureau du CICR à Gao. « Les habitants de Gao et de ses environs se trouvaient dans le désarroi. Des femmes enceintes sont décédées faute de soins appropriés et il y avait des blessés par balle dans des conditions dramatiques. » (Lire la suite)