Chronique d’un stagiaire chez Elaee

Publié le 15 mai 2012 par Claire Romanet

Pas toujours facile la vie de stagiaire… Du coup, comme nous en avons un entre nos murs, il réagit à la vidéo cocasse de Very bad blagues en nous apportant son propre témoignage d’apprenti Chasseur de tête.

Very Bad Blagues – Quand on est stagiaire par Palmashow


Un stage chez Elaee est-ce aussi rose que la première page de son blog ? Voila un peu plus d’un mois que j’ai fait mes débuts en tant que stagiaire au sein de ce cabinet de recrutement et de chasse de tête.

Petit retour en arrière, lundi 2 avril, un début de semaine classique pour la plupart des travailleurs lambda, pour moi, c’est le début d’une nouvelle aventure. J’arrive dans les locaux du cabinet, croissants et chouquettes à la main. L’équipe m’accueille avec le sourire, me met à l’aise, j’ai le droit à une visite guidée qui se termine par la présentation officielle de mon bureau, car oui, j’ai mon propre bureau. Ce n’est pas celui d’un Premier ministre mais je suis logé à la même enseigne que les autres. Ensuite, première réunion avec les consultants où je suis briefé sur l’ensemble des dossiers en cours, on m’explique, je m’imprègne, je suis dans les starting block, prêt à travailler.

Fin de la première semaine : je suis toujours en vie, aucun bizutage de la part de mes nouveaux collègues, même si auparavant l’un des consultants était pompier. Seul supplice, l’une des collaboratrices m’oblige  à manger ses graines de végétarienne avec elle chaque midi. Ils m’impliquent dans leurs missions, je découvre le métier de recruteur, assiste aux rencontres candidats, rédige des billets… Les semaines passent, je me détends je commence même à faire ma première revendication : « un mug avec mon nom, comme tout le monde !!!! », on me rit au nez, je fais passer ça pour de l’humour, je repars quand même avec un stylo, de quoi écrire sur mon cahier.

Au bout d’un mois, je n’ai pas encore de surnom, mais j’y travaille. Je peaufine mon mandat de stagiaire, j’essaie de marquer mon temps, j’ai laissé tomber les viennoiseries du lundi dans une optique de prendre soin de la ligne d’Elaee à l’approche de l’été. J’ai arrêté les revendications pour me pencher uniquement sur le travail, ce qui m’a permis de m’immerger  dans les coulisses de la chasse de tête et d’en connaître quelques petits secrets (mais chut, je ne vous dirai rien, confidentialité oblige). A travers ce stage,  j’appréhende un métier, j’apprends ses pratiques et je découvre une politique d’entreprise où la notion d’échange et d’écoute sont à l’origine du travail quotidien de chaque collaborateur.