ENI, détenue à 30% par l’Etat italien, dispose de la concession pour la zone 4 du bassin de Rovuma, très riche en hydrocarbures mais jusqu’à présent inexploité. Ses réserves sont désormais évaluées entre 1.330 et 1.470 milliards de mètres cubes, soit la moitié de la consommation annuelle mondiale.
Plusieurs multinationales du secteur cherchent à s’implanter dans l’est africain, attirées par la richesse en hydrocarbures mais également par les contrats avantageux qu’elles parviennent à signer avec les pouvoirs locaux.