ça commence gentiment, mais ça fini tristement....

Publié le 08 juin 2012 par Marigotine

             Élysée : les limites prévisibles de la «normal attitude»

    "Normal"

   Il pleut..

   Le buletin de santé...

   Jean-Marc Ayrault  emprunte le RER B pour se rendre en Seine-et-Marne lors de la campagne pour les législatives...

   Laurent Fabius voyage sur une compagnie low-cost entre l'Allemagne et l'Italie...

   Cécile Dufflot  pose en jean sur la photo officielle du gouvernement...

   Et comme nous avons perdu notre triple A, la faute à qui déjà?

   Ce n'est pas grave, nous avons avons gagné un double A

des plus Amical:                  "Ayrault/Aubry"

                                 

   (enfin A surveiller de plus près!)

        

   Quinquenat pluvieux quinquenat heureux

Commémoration. François Hollande est poursuivi par la pluie. Il a malgré tout été accueilli par une foule importante contenue aux abords du cimetière britannique de Ranville pour le 68ème anniversaire du débarquement. Ranville revendique le titre de «première commune libérée de France» car c'est ici que se sont posés les premiers paras de la 6ème division aéroportée britannique dans la nuit du 5 au 6 juin 1944. Pour son premier «D Day», François Hollande a voulu se placer sous le signe de la normalité. Attendu à 14h45, c'est en voiture qu'il a fait le déplacement, alors même qu'il recevait Martine Aubry à l'Élysée à midi... Un choix qui lui a valu d'arriver avec retard de vingt minutes dans ce village emblématique. «La mémoire, ce n'est pas un sentiment, une attitude, un état d'esprit. C'est une politique et j'en suis désormais le garant», a-t-il déclaré devant plusieurs centaines de personnes. «La mémoire doit savoir survivre aux témoins des événements eux-mêmes et trouver encore les mots quand les voix se sont éteintes», a-t-il aussi souligné." title="ça commence gentiment, mais ça fini tristement...." />Commémoration. François Hollande est poursuivi par la pluie. Il a malgré tout été accueilli par une foule importante contenue aux abords du cimetière britannique de Ranville pour le 68ème anniversaire du débarquement. Ranville revendique le titre de «première commune libérée de France» car c'est ici que se sont posés les premiers paras de la 6ème division aéroportée britannique dans la nuit du 5 au 6 juin 1944. Pour son premier «D Day», François Hollande a voulu se placer sous le signe de la normalité. Attendu à 14h45, c'est en voiture qu'il a fait le déplacement, alors même qu'il recevait Martine Aubry à l'Élysée à midi... Un choix qui lui a valu d'arriver avec retard de vingt minutes dans ce village emblématique. «La mémoire, ce n'est pas un sentiment, une attitude, un état d'esprit. C'est une politique et j'en suis désormais le garant», a-t-il déclaré devant plusieurs centaines de personnes. «La mémoire doit savoir survivre aux témoins des événements eux-mêmes et trouver encore les mots quand les voix se sont éteintes», a-t-il aussi souligné." border="0" />  François Hollande est poursuivi par la pluie. Il a malgré tout été accueilli par une foule importante contenue aux abords du cimetière britannique de Ranville pour le 68ème anniversaire du débarquement. Ranville revendique le titre de «première commune libérée de France» car c'est ici que se sont posés les premiers paras de la 6ème division aéroportée britannique dans la nuit du 5 au 6 juin 1944. Pour son premier «D Day», François Hollande a voulu se placer sous le signe de la normalité. Attendu à 14h45, c'est en voiture qu'il a fait le déplacement, alors même qu'il recevait Martine Aubry à l'Élysée à midi... Un choix qui lui a valu d'arriver avec retard de vingt minutes dans ce village emblématique. «La mémoire, ce n'est pas un sentiment, une attitude, un état d'esprit. C'est une politique et j'en suis désormais le garant», a-t-il déclaré devant plusieurs centaines de personnes. «La mémoire doit savoir survivre aux témoins des événements eux-mêmes et trouver encore les mots quand les voix se sont éteintes», a-t-il aussi souligné. Crédits photo : Pool/ABACA Les temps changent et là ce n'est plus normal! Autrefois c'était des bouteilles que l'on jetaient à la mer avec un message dedans. Aujourd'hui ce sont carrément des " Bibs ou des cubis" !!! Balayé. Il a suscité beaucoup de curiosité. Un ponton flottant de 20 mètres de long s'est échoué sur une plage du nord-ouest des Etats-Unis, après avoir dérivé pendant 15 mois dans le Pacifique à la suite du tsunami qui a frappé le Japon début 2011. Le ponton, fait de métal et de ciment, avait été repéré lundi face aux côtes de l'Oregon, il s'était échoué sur une plage à quelque 160 km au sud-ouest de Portland. La représentation diplomatique a confirmé qu'il s'agissait bien d'un ponton qui avait été emporté à la suite du tsunami du 11 mars. «Quatre pontons flottants ont été emportés lors du tsunami. Celui-ci en fait partie», a indiqué le consul général adjoint du consulat du Japon à Portland, Hirofumi Murabayashi. «Nous ne savons pas où se trouvent les trois autres, s'ils dérivent quelque part ou s'ils ont coulé ou non dans l'océan», a-t-il ajouté." title="ça commence gentiment, mais ça fini tristement...." />Balayé. Il a suscité beaucoup de curiosité. Un ponton flottant de 20 mètres de long s'est échoué sur une plage du nord-ouest des Etats-Unis, après avoir dérivé pendant 15 mois dans le Pacifique à la suite du tsunami qui a frappé le Japon début 2011. Le ponton, fait de métal et de ciment, avait été repéré lundi face aux côtes de l'Oregon, il s'était échoué sur une plage à quelque 160 km au sud-ouest de Portland. La représentation diplomatique a confirmé qu'il s'agissait bien d'un ponton qui avait été emporté à la suite du tsunami du 11 mars. «Quatre pontons flottants ont été emportés lors du tsunami. Celui-ci en fait partie», a indiqué le consul général adjoint du consulat du Japon à Portland, Hirofumi Murabayashi. «Nous ne savons pas où se trouvent les trois autres, s'ils dérivent quelque part ou s'ils ont coulé ou non dans l'océan», a-t-il ajouté." border="0" />  Il a suscité beaucoup de curiosité. Un ponton flottant de 20 mètres de long s'est échoué sur une plage du nord-ouest des Etats-Unis, après avoir dérivé pendant 15 mois dans le Pacifique à la suite du tsunami qui a frappé le Japon début 2011. Le ponton, fait de métal et de ciment, avait été repéré lundi face aux côtes de l'Oregon, il s'était échoué sur une plage à quelque 160 km au sud-ouest de Portland. La représentation diplomatique a confirmé qu'il s'agissait bien d'un ponton qui avait été emporté à la suite du tsunami du 11 mars. «Quatre pontons flottants ont été emportés lors du tsunami. Celui-ci en fait partie», a indiqué le consul général adjoint du consulat du Japon à Portland, Hirofumi Murabayashi. «Nous ne savons pas où se trouvent les trois autres, s'ils dérivent quelque part ou s'ils ont coulé ou non dans l'océan», a-t-il ajouté. Crédits photo : -/AFP Je vois rouge et là franchement c'est intolérable! Des rituels aussi sanguinaires devraient purement et simplement être sanctionnés... Le passage de l'homme jeune à l'adulte! Plutôt celui de l'âge bête à l'âge con et bestial,et d'ailleurs pas étonnant qu'après des spectacles comme ça certains soient assoiffés de violence...
Rituel morbide. C'est une tradition des îles Féroé depuis le IXème siècle. Elle a lieu tous les ans, dans ce groupe d'îles appartenant au Danemark. Son objectif: marquer le passage des jeunes hommes dans l'âge adulte. Mais au lieu de se faire pousser les moustaches, de se tresser mutuellement des nattes dans les cheveux, d'arborer des chapeaux à cornes, ou encore de trinquer bruyamment en famille, les Féroïens préfèrent pratiquer ce qu'ils appellent «the grindadrap» à savoir massacrer des centaines de baleines et dauphins…au couteau et à la hache. Evidemment, ce n'est pas tâche facile et il faut parfois s'y reprendre 5 ou 6 fois pour réussir à sectionner la colonne vertébrale des globicéphales, ce qui les paralyse, et ensuite leur trancher la gorge. Une boucherie d'une cruauté sans égale où près de 1500 individus trouvent la mort." title="ça commence gentiment, mais ça fini tristement...." />Rituel morbide. C'est une tradition des îles Féroé depuis le IXème siècle. Elle a lieu tous les ans, dans ce groupe d'îles appartenant au Danemark. Son objectif: marquer le passage des jeunes hommes dans l'âge adulte. Mais au lieu de se faire pousser les moustaches, de se tresser mutuellement des nattes dans les cheveux, d'arborer des chapeaux à cornes, ou encore de trinquer bruyamment en famille, les Féroïens préfèrent pratiquer ce qu'ils appellent «the grindadrap» à savoir massacrer des centaines de baleines et dauphins…au couteau et à la hache. Evidemment, ce n'est pas tâche facile et il faut parfois s'y reprendre 5 ou 6 fois pour réussir à sectionner la colonne vertébrale des globicéphales, ce qui les paralyse, et ensuite leur trancher la gorge. Une boucherie d'une cruauté sans égale où près de 1500 individus trouvent la mort." border="0" />   C'est une tradition des îles Féroé depuis le IXème siècle. Elle a lieu tous les ans, dans ce groupe d'îles appartenant au Danemark. Son objectif: marquer le passage des jeunes hommes dans l'âge adulte. Mais au lieu de se faire pousser les moustaches, de se tresser mutuellement des nattes dans les cheveux, d'arborer des chapeaux à cornes, ou encore de trinquer bruyamment en famille, les Féroïens préfèrent pratiquer ce qu'ils appellent «the grindadrap» à savoir massacrer des centaines de baleines et dauphins…au couteau et à la hache. Evidemment, ce n'est pas tâche facile et il faut parfois s'y reprendre 5 ou 6 fois pour réussir à sectionner la colonne vertébrale des globicéphales, ce qui les paralyse, et ensuite leur trancher la gorge. Une boucherie d'une cruauté sans égale où près de 1500 individus trouvent la mort. Crédits photo : © Andrija Ilic / Reuters/REUTERS Comme vous le voyez, il y a déjà bien assez de notre nature pour se charger de la désustruction massive sans que l'homme y mette sa connerie .... Ravagé. Il ne reste plus rien. Dans cet Etat, près de 69.000 hectares de forêt ont été détruits par le feu au Nouveau-Mexique, Etat qui n'avait jamais connu pareil sinistre, rapportent les autorités. L'incendie, qui a échappé à tout contrôle, a mobilisé 1200 pompiers et a détruit une douzaine d'habitations dans la forêt nationale de Gila. Dû à la foudre, il s'est déclaré le 16 mai. L'an dernier, 63.400 hectares avaient déjà été réduits en cendres au Nouveau Mexique et les flammes avaient menacé la ville de Los Alamos. Après avoir eu un moment de répit lorsque les vents se sont calmés, les pompiers ont dû faire face à une combinaison de sécheresse de la végétation et de vents forts." title="ça commence gentiment, mais ça fini tristement...." />Ravagé. Il ne reste plus rien. Dans cet Etat, près de 69.000 hectares de forêt ont été détruits par le feu au Nouveau-Mexique, Etat qui n'avait jamais connu pareil sinistre, rapportent les autorités. L'incendie, qui a échappé à tout contrôle, a mobilisé 1200 pompiers et a détruit une douzaine d'habitations dans la forêt nationale de Gila. Dû à la foudre, il s'est déclaré le 16 mai. L'an dernier, 63.400 hectares avaient déjà été réduits en cendres au Nouveau Mexique et les flammes avaient menacé la ville de Los Alamos. Après avoir eu un moment de répit lorsque les vents se sont calmés, les pompiers ont dû faire face à une combinaison de sécheresse de la végétation et de vents forts." border="0" />   Il ne reste plus rien. Dans cet Etat, près de 69.000 hectares de forêt ont été détruits par le feu au Nouveau-Mexique, Etat qui n'avait jamais connu pareil sinistre, rapportent les autorités. L'incendie, qui a échappé à tout contrôle, a mobilisé 1200 pompiers et a détruit une douzaine d'habitations dans la forêt nationale de Gila. Dû à la foudre, il s'est déclaré le 16 mai. L'an dernier, 63.400 hectares avaient déjà été réduits en cendres au Nouveau Mexique et les flammes avaient menacé la ville de Los Alamos. Après avoir eu un moment de répit lorsque les vents se sont calmés, les pompiers ont dû faire face à une combinaison de sécheresse de la végétation et de vents forts. Crédits photo : Kari Greer/AP/SIPA/Kari Greer/AP/SIPA