"Victimitude" quand tu nous tiens, rien contre mais encore moins rien pour...

Publié le 17 juin 2012 par Marigotine

Sans vouloir  faire:  on te l'avait dit

   Je compatis à la dure chute que doit être celle de l'égo surdimensionné de Ségo!

Mais ma "cocotte" si j'ai bien entendu certains de ton entouage en "Poitou- Charentes" et d'autres encore plus proches de toi, tu n'es vraiment pas des plus faciles à vivre au quotidien:

Références:

Peu aimable

Acariatre

Exigeante, voire humiliante avec tous ceux qui sont tes subalternes

Autoritaire s'il en est...

à la limite rabaissant tes collaborateurs au sein de son staff  "Poitiu- Charentes"

Faisant obstacle à toutes décisions ou octroi d'aides dans ton "Fief" de Poitou-Charentes pour peu que cette municipalité soit de droite......Pas vraiment très bien tout ça!

Alors il ne  faut sutout pas non plus  t'étonner qu'à la fin toutes ces choses se savent, suintent et qu'au final te desservent plus que tu ne le croyais!!!!

  Souris Ségolène, tu as contrairement à bon nombre d'entre nous les moyens de te relever...

«Meurtrie». Pendant 24 heures, elle s'était retranchée derrière un simple «pas de commentaire». Et puis, mercredi 13 juin au soir, Ségolène Royal est finalement sortie de sa réserve. Et n'a pas mâché ses mots pour commenter le tweet d'encouragement adressé à son rival dans la course aux législatives par Valérie Trierweiler, compagne de François Hollande, le père de ses quatre enfants. «Je n'ai pas voulu réagir hier car le coup était trop violent, ça ne veut pas dire que je ne suis pas meurtrie, je ne suis pas un robot...», a d'abord déclaré, mercredi soir, la candidate dans la 1re circonscription de Charente-Maritime, lors d'une réunion électorale à La Rochelle dont les images étaient diffusées sur les chaînes de télévision. «Je demande le respect par rapport à une mère de famille dont les enfants entendent ce qui se dit...», a-t-elle ajouté." border="0" />   Pendant 24 heures, elle s'était retranchée derrière un simple «pas de commentaire». Et puis, mercredi 13 juin au soir, Ségolène Royal est finalement sortie de sa réserve. Et n'a pas mâché ses mots pour commenter le tweet d'encouragement adressé à son rival dans la course aux législatives par Valérie Trierweiler, compagne de François Hollande, le père de ses quatre enfants. «Je n'ai pas voulu réagir hier car le coup était trop violent, ça ne veut pas dire que je ne suis pas meurtrie, je ne suis pas un robot...», a d'abord déclaré, mercredi soir, la candidate dans la 1re circonscription de Charente-Maritime, lors d'une réunion électorale à La Rochelle dont les images étaient diffusées sur les chaînes de télévision. «Je demande le respect par rapport à une mère de famille dont les enfants entendent ce qui se dit...», a-t-elle ajouté. Crédits photo : XAVIER LEOTY/AFP Faut quand même reconnaître que parfois il est préférable de rester le cul entre deux chaises même si c'est incofortable, plutôt que d'hadérer à cette vaste fumisterie du:    Je t'aime je suis là et tout va bien! Quand est-ce que tous, d'un bord comme de l'autre finiront par comprendre que ça y est maintenant on commence à comprendre leurs subtilités électorales... Et qu'ils nous envoient fissa toutes leurs  "Valda" même si ça pique à la gorge. Je préfère tousser un bon coup que d'avoir des quintes de toux à répétition...                             Et vous?
Donnée perdante. C'est un coup de tonnerre au Parti socialiste. Ségolène Royal, qui a dénoncé les attaques «personnelles» et «méprisantes» la visant comme candidate aux législatives à La Rochelle, pourrait bien perdre l'élection, dimanche. Éue députée, elle se voyait déjà la présidence de l'Assemblée nationale... Mais voilà. Son élection est moins acquise que jamais. Selon un sondage Ifop, réalisé lundi et mardi - avant et après l'affaire du tweet de Valérie Trierweiler - Ségolène Royal n'obtiendrait que 42% des voix, contre 58% pour Olivier Falorni, le candidat dissident et l'ex-patron des socialistes charentais, dont on n'a jamais autant parlé... Ce sont les électeurs de la candidate UMP Sally Chadjaa qui feraient pencher la balance: 82% d'entre eux a décidé de reporter son vote sur Olivier Falorni." border="0" /> . C'est un coup de tonnerre au Parti socialiste. Ségolène Royal, qui a dénoncé les attaques «personnelles» et «méprisantes» la visant comme candidate aux législatives à La Rochelle, pourrait bien perdre l'élection, dimanche. Éue députée, elle se voyait déjà la présidence de l'Assemblée nationale... Mais voilà. Son élection est moins acquise que jamais. Selon un sondage Ifop, réalisé lundi et mardi - avant et après l'affaire du tweet de Valérie Trierweiler - Ségolène Royal n'obtiendrait que 42% des voix, contre 58% pour Olivier Falorni, le candidat dissident et l'ex-patron des socialistes charentais, dont on n'a jamais autant parlé... Ce sont les électeurs de la candidate UMP Sally Chadjaa qui feraient pencher la balance: 82% d'entre eux a décidé de reporter son vote sur Olivier Falorni. Crédits photo : JEAN-PIERRE MULLER/AFP