Bilan de santé

Publié le 19 juin 2012 par Veritejustice @verite_justice

 CE N’EST PAS UN BARRAGE DU PLAN NORD

19 juin 2012

J’ai déjà fait un article parlant d’un pontage effectué en 2008 et qui semblait se diriger vers sa fin de vie et de mes sensations face à ma circulation sanguine qui ne passait plus.

En conséquence ce qui devait être un simple examen s’est révélé être une angioplastie soit de me rentrer un tube à l’aime pour ensuite faire gonfler un ballon pour en finir avec une clôture Frost qui tient les parroies de mon artère ouvertes.

Tout n’est tout de même pas terminé alors que la semaine prochaine je dois revoir ma spécialiste qui me dira si cette technique à fonctionnée mais disons que présentement je ne penses pas vraiment alors que les extrémités de mes orteils sont encore insensibles.

Alors Non je n’étais pas en prison même si cela est la volonté de ceux qui m’ont attaqué mais cela reporte les dossiers à plus tard……

Pour la prochaine semaine je dois rester tranquille et me reposer afin de ne pas provoquer d’hémorragie car le tube fut entré par un artère principal mais je peux encore écrire un peu.

Pour les friands de médecine la définition qu’en fait Wikipédia est la suivante:

L’angioplastie percutanée est indiquée pour traiter les occlusions ou les sténoses artérielles. Elle utilise pour cela de petits ballonnets gonflables, à usage unique, qui permettent de dilater l’artère à l’endroit du rétrécissement. Le plus souvent, le geste est complété par la mise en place d’une endoprothèse métallique (communément appelée « stent » ou ressort) qui reste incrustée à l’intérieur du vaisseau pour éviter la reformation d’un rétrécissement.

Cette prothèse est progressivement recouverte par les cellules de l’artère qui, dans certains cas, se développent excessivement, reformant un rétrécissement (phénomène dit de « resténose »). Pour lutter contre ce phénomène, de nouvelles prothèses recouvertes de produits actifs luttant contre ce développement cellulaire ont été inventées. Dans tous les cas, l’administration de médicaments luttant contre l’agrégation plaquettaire est nécessaire à long terme.

L’une des angioplasties les plus fréquentes est l’angioplastie coronaire (Percutaneous transluminal coronary angioplastyou PTCA en anglais) où la sonde est introduite par l’artère fémorale au niveau de l’aine ou par l’artère radiale. Les autres angioplasties touchent les artères rénales, les artères des jambes ou la carotide.

L’indication de l’angioplastie doit être soigneusement pesée et ne doit pas se baser sur le seul aspect visuel de l’artère : l’angioplastie, faite en dehors d’un angor instable ou d’un infarctus, a comme principal intérêt par rapport au traitement médicamenteux de soulager plus efficacement les symptômes sans diminuer le risque de décès ni d’infarctus du myocarde. Il semblerait préférable pour la plupart des patients ayant une angine de poitrine de commencer par le traitement médicamenteux avant d’envisager une angioplastie selon les résultats des tests cardiologiques (épreuve d’effort, échographie de stress ou scintigraphie myocardique de perfusion)