Puisque j’écris ces lignes dans l’inspiration du thème du « POUVOIR DE L’IMAGINAIRE » , j’aimerais que mes lecteurs puissentencore accepter cette présentation de mon sujet sous la forme del’article précédent : AUJOUD’HUI après une réintroduction personnelle de la base du sujet,je continuerai la prochaine fois par une conversation fictiveà trois voix mêlant un candide, un physicien revenude bien des choseset moi-même pour conclure ……Je sais que mon ami et mon petit-fils me reprochent de leur faire dire ce qu’ ils ne pensent pas nécessairement !.....mais on reste dans le cadre d’un dialogue de vulgarisation qui fait ressortir certains traitsparfois de façon trop contrastée , alors veuillez excuser en moile pédagoguequi schématise , déforme ,dramatise au besoin !
1. REVENONS A L’ORIGINE D’UN PSEUDO TROU NOIRPOUR MIEUX COMPRENDRE
Dans le DOSSIER POUR LA SCIENCE que je continue à éplucher se trouvent aussi quelques compléments d’informations à ceux du PrLASOTA et que je vais utiliser pour mieux vous faire comprendre les diverses éventualités possibles ( ARTICLES DE JULIEN LAVALLE/ FELIX MIRABEL /KIMBERLY WEAVER …….etc.).Mais pour lesquelques vraisphysiciensqui me suivent ici je conseille la lecturede la thèse de doctorat de ALEXANDRE LE TIEC ( 2010) fruit du travailà l’Institut d’Astrophysique de Paris,du groupe de recherche GR"CO (Gravitation et Cosmologie), sous la directionLuc Blanchet, Steven Detweiler, BernardF. Whiting et Clifford M. Will,
1-2: Effondrement gravitationnel d’une étoile en fin de vie et de masse supérieure à la limite OPPENHEIMER- VOLKOFF. Puisque l’étoile a « vieilli( enrichi en éléments lourds)perdu une part importante de sa masse pardissipation du vent stellaire, lorsque le stade supernova se produit,le cœur s’effondrecar la gravité triomphe mais les couches externessont éjectéesavecou non formationd’undisque d’ accrétionrésiduel….La températuredu cœurs’effondremalgré l’arrivéedes« derniers rentrants »…..Si le flux entrant s’interrompt totalement , alors lerésidu central ( avecdes élémentsallant jusqu’à Z=56ou plussi l’étoile est de 2 ou N ème génération ) va refroidir jusqu’au stade de densité maximale et sans apparition de quelquesingularitégéométriquequi soit....SELON MOI !Je présumemais intuitivement que certains d’entre vous vont penser que la matière y est dégénérée( on dit qu'elle est dégénérée lorsque sa densité est suffisamment élevée pour que le principe d'exclusion de Pauli1 intervienne à l'échelle macroscopique) et d’autres me proposeront des condensats BOSE -EINSTEIN à l’étatde taille stellaire !
1-2 : Coalescence d’un quasi- trou noiravec son voisin( étoile compagnon ou quasi trou noir ou étoiles a neutrons ) . Le problème à deux corps, si simple à résoudre en gravitation newtonienne, n’admet pas de solution exacte en relativité générale. Toute recherchemathématiqueanalytique doit alors tôt ou tard faire appel à une approximation, où les équations d’Einstein sontdéveloppées en puissances d’un « petit » paramètre de « replicrédible » !Pour ne pas vous laisser sur votre fin je vous propose le modèle calculé présenté sur ma photo ) .
Sur l’évolution thermiquedu contenude tels exemplesj’avoue ne pas pouvoir prédire grand-chose …..J ‘attends les résultats d’observation DIRECTE ettant espérés des détections d’ondes gravitationnelles mais mes 81 ans ne me le permettront plus peut-êtretrès longtemps !
1-3 : Effondrement de gros nuages initiaux de faible métallicité et peu ionisés
JULIEN LAVALLEprésente dans la même revue que LA SOTAune hypothèse intéressante pour ceuxqui, soit admettentle « bigbang canonique »,soit un retour à des cycles et à des rebonds chauds …. Dans un cosmos jeune ou « fraichement rajeuni »il propose , q u ‘ à partird’un tel milieusansmolécules à Zfort ,se forment des nuagesd’hydrogènegigantesques, ce qui produit rapidement des protoétoiles très massiveset à vent minime ….Après des existences courtesde telles étoiles s’ effondrent maisaboutissent sans exploser , puisqu’ il n y a pas eu trop de pertes de matières ni synthèse d’éléments lourds à des corps compacts « noirs » presqu’aussi lourds que les concentrations de départ mais pas hyperdenses .
Selon l’auteur, de telles occurrences expliqueraient les quasi- trous noirs de taille intermédiaires entre trous noirs stellaires et trous noirs super massifs,( en clair entre quelques centaines et quelques milliers de masses solaires ….…).
.Dans un article publié dans lePOUR LA SCIENCE de juillet, AVISHAY GAL –YAM présenteune hypothèse complémentaire / pour certaines de cesastressuper massifsle passage à l’ hypernova serait possible et explosif en créant des paires particules – antiparticules . L’auteur présente des cas de telles hypernovae qui refusent de s’éteindremême après des mois de brillance !!! La fin d un tel typeastre serait dramatique etsurviendrait par explosion ducœur lorsdu passage au début de lafusion brutale del’oxygéne etl hypernovapartiraitaux 4 coins de l’espace ! photo
a suivre