Deadlight, les zombies contre-attaquent

Publié le 09 juillet 2012 par Naabzoo @Naabzoo

Le jeu ayant été dévoilé tout d'abord en janvier, c'est par le biais d'une vidéo présentée à l'E3 2012 que le studio Tequila Works a annoncé officiellement Deadlight. Ce jeu de plateformes en 2D (voire 2,5D) se laisse tenter par son ambiance sordide, ses décors magnifiquement conçus et dignes d'un véritable survival horror. Lâché en pleine ville dans laquelle fourmillent des hordes de zombies, il va falloir user de ruse et surtout faire preuve de sang-froid. Petit détour sur Deadlight, ou quand les vivants ne sont pas vraiment morts et les morts presque vivants (ou pas).

Seattle 1986. Vous êtes Randall Wayne, jeune trentenaire un peu faiblard, loin des clichés du super héros des temps modernes. Après avoir collé une balle dans la tête de votre pauvre femme (lol inside) contaminée par un mystérieux virus, vous voilà seul au milieu d'une population contaminée et transformée en zombies assoiffés de sang. Qu'à cela ne tienne, Randall n'est pas du genre à se laisser abattre et désormais, il ne tient qu'à lui de survivre.

Ainsi commence l'aventure Deadlight, avec ses environnements sombres, lugubres, presque apocalyptiques doublés d'une ambiance qui vous prend aux tripes.

Le côté survival horror met principalement l'accent sur la fuite. En effet, le jeu s'organise autour d'un environnement hostile où la confrontation directe n'est pas forcément la meilleure idée. Fuir pour continuer à avancer sera votre principal axe de progression.

Côté gameplay, Deadlight insiste sur l'interaction avec le décor, véritable cœur du jeu. On y découvre tout un système utilisable et nécessaire pour stopper ses ennemis et progresser dans les niveaux qui, au fur et à mesure de l'aventure, deviennent de plus en plus complexes.

Randall est faible mais surtout très vulnérable : face à plusieurs ennemis, le combat est donc perdu d'avance. De plus, vous disposez d'une barre d'endurance qui limitera vos actions de combat ou votre jauge de sprint, un élément crucial qui vous sauvera la peau plus d'une fois. Autre détail intéressant, Randall peut crier pour ameuter les ennemis afin de provoquer des diversions ou attirer les zombies dans un piège.

Deadlight arrive sur le devant de la scène avec des idées neuves. Combinaison parfaite entre jeu plate formes et survival horror, le bijou de Tequila Works s'inscrit dans un genre original et unique au sein duquel l'immersion est omniprésente. Prévu pour sortir le 1er août 2012 sur Xbox Live Arcade, Deadlight constitue l'une des plus grandes attentes de cet été. Le trailer en vidéo par ici.