Tame Impala – Why Won’t You Make Up Your Mind
J’ai découvert le rock psyché des australiens de Tame Impala il y a de cela un an, en première partie des Artic Monkeys, aux Nuits de Fourvière à Lyon. J’avais été plutôt déçu par leur performance live. Je les redécouvre en ce moment. J’espère les revoir bientôt pour pouvoir noter une amélioration de leur jeu de scène et, assurément, ils seront dans mon casque ce week-end. (Loïc Marszalek)
Al Usher – Lullaby For Robert (Bogdan Irkük remix)
Je n’écoute pas beaucoup d’electro n’étant pas fan du genre, même si au final, je pense que c’est parce que je ne suis pas assez cultivé dans ce domaine là et que je ne sais pas par où commencer mais j’ai réussi à tomber follement amoureux de ce remix de Bogdan Irkük. Propre sur lui à souhait. (H)
Nas Vs Massive Attack – The Don
Massive Attack offre, encore une fois, un remix hallucinant dont ils ont le secret. Ici, place à 6 minutes de dub collant au tympans s’alliant parfaitement avec le très bon »The Don » du rappeur Nas. À écouter sans relâche ! (Olivier Cron)
Alt-J ∆ – Breezeblocks remix Dorian and the Dawn Riders
Une des meilleures musiques d’Alt-J remixée. Vous avez peur que cela soit un massacre electronique qui pourrait vous faire mal aux oreilles ? Non non, la mélodie reste douce, apaisante. Dorian and the Dawn Riders est un musicien bordelais, qui a su garder la magie de Breezeblocks avec sa touche enivrante. (Pauline Jeannette)
Veronica Falls – My Heart Beats
Veronica Falls a lâché il y a quelques mois un single d’entre-deux albums. My Heart Beats fait sautiller, Roxanne nous enchante avec sa voix et le soleil ne va pas tarder à arriver même si je commence à désespérer. Cette année ils passent à la Route Du Rock, et c’est tout bon pour nos oreilles. (Clémentine Blue)
Volta Bruno – Alley Cat
« Year of the cat » d’Al Stewart remis au goût du jour par Volta Bureau, ce trio venu de Washington produit un son entraînant, parfois à la limite du commercial, mais l’association piano/violon donne a cette house une toute autre dimension. (Kevin Osmont)
Gesaffelstein – Depravity
Pour nourrir nos oreilles impatientes de nouveaux sons, Mike Lévy aka Gesaffelstein lâche deux morceaux chez le label Bromance, Depravity et Belgium. Si on pourra lui reprocher de trop laisser de côté les basses, le côté dark est toujours aussi présent, l’électro française tient son plus beau représentant. (Sinh Blum)