Selon cette nouvelle étude du Cabinet NPD Group, un institut spécialisé dans les enquêtes sur les modes de consommation, les Français seraient aujourd'hui les seconds plus gros consommateurs de hamburgers en Europe. Avec 14 unités avalées chaque année, ils se placent juste derrière les Britanniques (17 burgers par an) mais devant l'Allemagne et l'Italie.
Néanmoins, de plus en plus de Français cuisineraient leurs burgers à la maison, une solution recommandée pour éviter les graisses saturées et limiter les conséquences néfastes sur les taux de cholestérol et le risque possible de maladie cardio-vasculaires.
Une récente étude du Credoc montrait qu'en France, les repas à la maison et en famille restent encore institution, une tradition qui limite le grignotage et fait, en quelque sorte, rempart contre l'obésité. La stabilité de ce modèle alimentaire préservait dans une certaine mesure, la majorité des Français du grignotage et du fast food. Aux Etats-Unis, où le taux d'obésité dépasse 30%, plus de 40% du budget alimentaire est consacré à des repas et fast food pris à l'extérieur.
Enfin, alors que manger plus lentement, est aussi un des bénéfices et des agréments des repas pris à la maison, consommer du fast food réduit le repas à un simple acte technique.
Sources : The NPD Group et Credoc
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Obésité de l'enfant (1/6)Troubles du comportement alimentaire