Le long de l'eau

Publié le 25 mars 2008 par Mathilde
J’imagine la détresse du reflet, l’écho du mot, juste une solitude vibrante et dépouillée. Lorsque le mot se fait tapage, l’imposture est si proche du dérisoire, le reflet en cache l’indécente dans son murmure et s’allonge et s’éloigne et garde la grâce du secret.