Cornouaille

Par Darkstein

d’Anne Le Ny.

Une Vanessa Paradis navigant entre désespoir, nostalgie et folie douce, un Samuel Le Bihan au rôle équivoque, entre le fantôme ou le Martin Guerre (donnez-moi votre avis !), pour un film où l’acteur principal, c’est la Bretagne, sauvage, désolée, peuplée de ses âmes volées, des souvenirs.

Vanessa Paradis me laisse perplexe : je ne la trouve personnellement pas très bonne actrice - manque de vivacité, de tonus dans le jeu, mais elle est présente. On se rappelle son glamour destroy dans Atomik Circus, la voici perdue entre un passé qu’elle se refuse et un futur qu’elle n’entrevoit pas. Et pour cela, on applaudit.