Le Pérou, côté gastronomie

Par Sophie21

Je n'ai pas encore fait le tri de toutes mes photos, mais voici un aperçu de la gastronomie péruvienne et de quelques marchés locaux !

En entrée, les papas à la Huancaïna : des pommes de terre avec une sauce à base d'épices, de cacahuètes et de fromage. Très bon : j'essayerai de le refaire à la maison.

L'aji de gallina, un plat traditionnel : de la dinde effilochée servie avec une sauce aux épices.

Un plat de poisson, pané, servi avec de l'avocat (oublié le nom) : moi qui n'aime pas ça, là bas je les ai trouvés délicieux ! Il y avait bien sur, encore et toujours du riz avec, mais servi à part !

Le piment farci, spécialité de la ville d'Arequipa : relevé, mais délicieux.

Du poisson, servi avec des oignons, tomates, épices. En accompagnement de tous les plats : pommes de terre et riz ! Il y a parfois des légumes, mais jamais cuits ... On trouve aussi ce plat avec du poulet ou du boeuf.

Du bar, servi dans un restaurant où le chef a été formé à Lyon, on sent la touche française.

Toujours ce même restaurant, l'entrée : poulpe, crabe, saint Jacques, et ceviche de poisson (poisson cru mariné avec du citron). Pas facile quand on n'aime pas les fruits de mer.

En dessert, le queso helado : une glace à base de lait et de noix de coco. Sinon habituellement, beaucoup de salades de fruits, ou de crêpes (qu'ils confondent avec les pancakes ...)

Maintenant, la gastronomie locale que nous devions déguster lors de la visite d'une maison traditionnelle, très très pauvre... Je ne me sentais pas très bien là-bas.  Pommes de terre : eux les mangent trempées dans de l'argile : le 2e récipient en partant de la droite. Moi je n'ai goûté à rien, trop peur d'être malade !

Marché d'Arequipa, 2e ville après la capitale Lima. Les fruits étaient superbes !

Un étal de pommes de terre : 3 000 variétés rien qu'au Pérou !

Un marché local dans un petit village près du lac Titicaca, où les touristes ne sont pas présents. Nous n'étions pas vraiment les bienvenus (une personne a failli se prendre une pierre), et les photos ont été prises discrètement car les gens n'apprécient pas d'être photographiés.

Et pour finir, le cochon d'inde ("cuy" là-bas) : on l'a eu lors du dîner d'adieux sur notre table, servi entier, avec les pattes, les petites dents. Bien sur je n'ai pas pu goûter, mais en plus prendre une photo était pour moi impossible, une horreur ... J'ai vraiment cru que ce que j'avais mangé jusque là ne passerait pas, et je n'ai quasiment rien pu avaler après. 

Ils sont bien plus mignons vivants !