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Chers amis ici égarés,
le comité central de Poin-Poin vient de décider la mise à mort du présent blog, qui n'était pas et ne sera plus maintenu. La sentence a été mise à exécution immédiatement. Couic.
Vous pouvez toutefois trouvez l'asile politique (ses pétunias, ses girafons, son hip-hop, ses Manowar, ses pulls en jersey, ses escalopes traversières...) et sur qui pourrait être mis à jour un de ces quatre matins sans que personne ne soit prévenu et par la sainte puissance du simple esprit (comme quoi on ne se torche pas avec le dos de la cuiller).
Aussi n'ai-je plus qu'à citer Shakespeare, lequel souhaitait comme épitaphe sur sa tombe : " Passant, fous le camp. Il n'y a ici qu'un tas d'ossements sans importance."