Fausse idée ou réalité ?
C'est une question que l'on peut se poser en effet.
Car la ville de Bernay (comme toutes les villes d'ailleurs) à un service de nettoyage des espaces publics.
Je ne parle pas ici des services des jardins, non.
Même si sur les pelouses et autres espaces verts de la ville ils en voient des vertes et des pas mûres eux aussi.
Non, je parle bien d'un service de ramassage des diverses ordures et/ou détritus que la population se fait parfois une joie de jeter n'importe où, est par terre de préférence.
Alors oui, ils vont par équipe de deux dans tous les quartiers coins et recoins de la ville (enfin, presque tous les recoins de la ville, rire) pour ramasser ce que l'incivilité des uns crée par rapport aux autres.
Ainsi, ont les voient jour après jour marcher, arpenter la ville poussant inlassablement leurs poubelles à roulettes ramassant avec des pinces ici ou balayent là.
Oui, ils œuvrent par tous les temps s'en bronché après on entend dires ce genre de propos "Après tous s'est leurs boulots quoi".
C'est leurs boulots de quoi ?
De torcher les fesses des citoyens emplis d'incivilités (sujet d'un prochain article).
Alors quelque part oui, ce slogan et vrais "Bernay ville propre".
En plus, plus ça va plus la municipalité investie dans du matériel de qualité pour alléger le travail de tous ceux-là.
Souffleuse (à essence) - camionnette (qui roule électrique) - pince - balai, et enfin la grosse balayeuse qui arpente les rues de la ville et de ses quartiers pour ramasser poussières, feuilles et autres qui encombres les caniveaux, etc.
Alors ceux-là portent le brassard jaune fluo et ont, dans les grandes lignes, les points de sécurité liée à leur service.
Mais quelles sont leurs actions possibles en fait ?
1 - Balayée les rues - caniveaux - ruelles - places.
2 - Éviter les amoncellements de détritus déposer ici ou là.
Ce qui ne rentre pas dans leurs cadres de travail :
1 - Nettoyées les places de restaurations rapides en passent le balaie entre les chaises et tables.
2 - Balayées les trottoirs et bords de magasins.
3 - Le ramassage des ordures (en sacs, etc., tâche dédiée aux éboueurs de la société "Veolia").
Car en effet, le code des villes impose aux commerçants de nettoyer eux-mêmes leurs bouts de trottoirs et ainsi, de déposer les résidus accumulés dans le caniveau desquels, là, les agents d'entretien de la ville passent les ramasser.
Ensuite, ils sont le sujet de mots pas toujours flatteurs en leurs endroits, mais ils s'en accommodent et passe en fait aux delà, tant le salaire tombe le 6 du mois.
Et là, on voit alors la limite de l'incivilité entre les uns et les autres qui la semblent alors assez fine.
Car non, ils ne sont pas les larbins de certains commerçants des métiers de bouches qui leurs demandent (impose parfois) de jouer du balai entre leurs tables après que leurs clients soi partis, non.
Que fait "L'UCIAL" pour gérer ce genre de chose ?
Car le rôle de "L'UCIAL" n'est-il pas la non plus pour rappeler les bonnes règles et mœurs entre commerçants et employés municipaux (mais pas seulement) ?
La municipalité, elle fait se dont elle et charger (même si l'ont pourrais estimer que cela semble peux).
C'est-à-dire elle propose un service gratuit (outre le fait que cela se paye avec les impôts) de nettoiement de la ville pas plus pas moins.
Après, il y a des sortes de clans (même si tous s'entendent plus ou moins) au sein même des services municipaux (rire) exemple ci-dessous :
Pas question par exemple donc, et pour leurs avoir demandé, que les nettoyeurs du marché du samedi lave au karcher l'intérieur de l'abri bus de la poste "Ce n'est pas notre secteur" m'a t'ont répondus un jour.
Reléguant ce fait aux pauvres balayeurs qui, eux, n’ont pas de karcher, donc quelque part on tourne en rond en fait.
C'est le fameux "S'est pas moi s'est lui" (rire).
Sachons aussi que l'équipe au complet du service de nettoiement de la ville comporte juste… 6 personnes (hé oui cela semble vraiment peux non ?).
Alors, pour détaillé un peut, disons en gros que dans c'est 6 personnes là, 4 sont embauchés en cdi par la municipalité.
Quant aux restes de l'équipe, les employées se baladent entre emploies saisonnier et des peines judiciaires d'intérêt collectif à purger.
Ils existent, et je le vois lors de mes errances Bernayenne, peut de rapport, entre la population et se service là.
Je veux dire que je vois, entends peut de dialogue, de communication entre ceux-là et la population et je trouve cela dommageable, discuter n'a jamais tuée personnes et n'empêche pas non plus le bon déroulement de leurs travail, si ?
Pourquoi cette espèce de froideur entre les deux ?
S'en doute que certains trouvent ce métier d'un ingrat tel que leur parler serait limite pas propre (rire).
Pour ma part, je discute toujours, quand je le peux, le bout de gras avec certains d'entre eux et ils ne sont pas dénués d'intelligence croyez-moi.
Après, il est certain qu'il en est avec des caractères disons, fort, et qui sont devenue aux fils des ans des, si je puis dire, "Personnages hauts en couleur", des plus connus, reconnus pour leurs façons d'être, de discuter (rire).
Puis il en est d'autre plus introvertie fessant alors leurs tâches du jour avec conscience et en quasi-silence aident alors à ce que la ville soit maintenue propre.
Donc, en forme de conclusion j'aimerais dire ceci :
"Ne croyez-vous pas que leurs dires parfois merci leurs ferais du bien et leurs montrerais que nous, la population, prenons conscience que leurs métiers n'est pas un métier facile tous les jours et que leurs donner un simple "Merci" et toujours agréable, non ?".
Alors, moi, je leur dis par le biais de cet article un grand "MERCI À VOUS pour le travail effectuais"…
Photographies : "Service de nettoiement de la ville de Bernay en pleine action" par le citadin aout - septembre 2012©®.
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