Si l’ensemble est incontestablement très beau, il n’évite pas pour autant les tics et les clichés propres à ce type d’album droopyesque sur les bords, forcément enregistré par un barbu triste et seul (ou presque) dans une cabane au fin fond des bois. Du coup, malgré ses qualités indéniables, "Spectral Dusk" finit par lasser, voire par agacer quelque peu.
[6.5/10]
Kutu Folk - sept. 2012