Mon métier de rêve

Publié le 25 juin 2012 par Zimbie @Zimbiee

Même si cela fait plus d’un an que je suis en stage alors que je suis diplômée, pour rien au monde je ne changerais de métier. Alors, oui, décrocher un poste de journaliste n’est pas une mince affaire mais ça vaut le coup de s’accrocher car une fois que tu es tombé dedans il est impossible de t’en passer. Quand j’étais gamine, mes petits camarades voulaient tous être : maîtresse d’école, pompier, chanteuse… et bien moi je savais que je serai journaliste (bon ok, j’ai aussi voulu être danseuse au Lido #articleconfession). Je l’ai toujours dit, rester dans un bureau toute la journée, très peu pour moi. Si ça en amuse certain c’est cool, mais l’adrénaline, l’inconnu, c’est tellement stimulant ! Avec ce job, tu ne sais jamais de quoi tes journées seront faites et je crois que c’est ce que j’aime le plus. Le soir en rentrant à la maison, c’est un peu une partie de devinettes pour tes proches : manifestation ? travaux ? expos ? Le panel est tellement varié que cela peut être tout et n’importe quoi.

Après, toutes les journées ne sont pas aussi mouvementées mais il y en a certaines qu’il est impossible d’oublier. – “T’as fait quoi aujourd’hui ?” – “J’ai passé l’après-midi dans les nuages !“. Déjà monter dans un avion pour le boulot c’est pas commun mais ce qui l’est encore moins, c’est quand l’engin est piloté par un ado de 15 ans et qu’en plus, il s’agit de son premier vol. Inutile de vous dire qu’à la maison, c’est toujours moi qui gagne le soir quand je raconte ma journée… Cours de cuisine moléculaire, interview de célébrités, visite de yachts, la liste est bien trop longue à dresser ! Il y a aussi, ces rencontres hors normes. Si j’ai souvent affaire à des cons, il y a des perles au milieu du lot. Ces gens auxquels, je ne me serai jamais intéressée de moi-même et qui valent “franchement” la peine d’être connus et rien que pour ça, j’adore mon boulot !

Petit conseil : garde précieusement tes articles si tu ne veux pas passer pour un fou. Va expliquer après, à tes potes, que tu as fait de la peinture avec une girafe (d’accord, celui la est… faux).