Le psychopathe, un personnage qui a souvent du chien…

Publié le 16 octobre 2012 par Bigreblog

Coucou tout le monde! Alors, aujourd’hui, petit manque de pas inspiration, j’avais envie de creuser le sujet pour lequel vous me semblez souvent perplexe sur mon blog, mon addiction pour les psychopathes.

Let’s dig together, shall we?

Le psychopathe, qu’il soit télévisé ou cinématographié, est souvent source de fantasmes dans ma petite tête. Mais pourquoi donc?

Premièrement, vous aurez peut-être remarqué que ces derniers temps, les vilains sont joués par de monstrueusement canons jeunes hommes (ou pas si jeunes, hein Rumple?). Exemples? Ben, prenez un de mes films préférés par exemple: Harry Potter and the Prisoner of Askaban. Sirius Black, psychopathe de génie, incarné par le magnifique Gary Oldman (old, j’t'en foutrai moi!), ou encore, dans le plus récent Avengers, hein (on se demande), mon Loki d’amour, incarné par un roux qui me fait baver en une seconde, Tom Hiddleston (MIIIIIINE!).

Ou Jonathan, hein, parce que celui-là, milliard!

Deuxièmement, chez moi, le psychopathe touche mon ptit organe qui pompe du sang, le coeur ou un truc approchant. Souvent, en effet, le psychopathe (mâle ou femelle d’ailleurs) a un backtrack qui le rend très très très attachant et limite le rendrait plus gentil que le gentil officiel. Autres exemples? A part Loki, déjà cité et que je citerais partout si je m’écoutais, on peut citer The Master dans Dr Who (utilisé comme balise (littéralement) par les Timelords), Gollum, terriblement attachant quand même ce schyzophrène d’amour, ou encore, encore plus connu peut-être, Dark Vador et la mort de sa chérie d’amour.

Mordred, un nouveau torturé que j’ai décidé d’adorer…

Troisièmement, la femelle de race humaine est connue pour aimer les bad boys. Dans mon cas, ce n’est vraiment pas un cliché. Il n’y a rien à faire, un bad boy, c’est quand même vachement plus intéressant à vivre qu’un bogoss parfait sous toutes les coutures (hein Steve Rogers?). Moi, j’aime les emmerdeurs (tels Vador donc), les gentils timbrés (Jefferson), ou tout simplement les vilains tout plein qui s’assument (Mister Smith en haut de l’affiche). J’ai même pas honte.

Et vous, vous avez aussi un soft spot pour les vilains?