Yoshio Kubo
C’est bien connu, les fashion weeks c’est comme nos psychoses les plus profondes: on s’en débarrasse jamais vraiment. Parce que bon, oui, certes, les 4 fashion weeks officielles sont finies, mais c’est sans compter sur les non-officielles, qui pullulent au fils des ans, verrue plantaire style! (spéciale casse-dédi à tous ceux qui font un mini prière avant de franchir le bassin « lave-pieds » à la piscine, refuge de trucs les plus immondes, du champignon à la mst. Si, si).
Bon, on va pas toutes se les coltiner, les fashion weeks non officielles, mais pourquoi pas de temps en temps se pencher sur une, histoire de. Aujourd’hui, Tokyo. Tsunami, séisme, nucléaire, sushi, baguettes, yeux bridés, pokemon … mais pas que! Tokyo est aussi une ville impressionnante de dynamisme et de créativité au niveau modesque, mais ça c’est pas vraiment une nouveauté. Alors certes, des fois ce dynamisme et cette créativité donnent naissance à des choses que nos cerveaux occidentaux considéreront comme « étrange » voire « trèèèèèès étrange » ; mais c’est bien ça qui fait tout le charme de la capitale nippone. Le fait que chacun puisse se fringuer comme bon lui semble sans que personne autour ne lève le moindre petit poil de sourcil interrogateur permet toutes les excentricités du coup, y’a moyen de s’en fendre une bonne tranche!
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