Le pouvoir de l 'Imaginaire ( 205): la superposition des petits fantômes !!!

Publié le 10 novembre 2012 par 000111aaa

Je compte bien en avoir laissé quelques-uns EN APPETIT hiersur les interrogations « fictives » de mon petit filsà proposde ce qui pourrait constituer le support de la «  lumière » ( en vrac , tout le spectre des radiations électromagnétiques ) , leVIDEen fait !!….Tirez donc encore un peu la langue d’envie ou d’impatience, tant que cela vous intéresse ……A l’image de la célèbre maxime de DON JUAN «  Pendant la Jouissance , il m’arrive de regretter le Désir !... », pensez à faire votrecette extrapolation bien connue : « Après toute nouvelle Connaissance, macuriosité…se lasse » !!!

Un dernier point à méditer avant de passer à autre chose :un grain de lumière vous parait-il à ce point un marathonien infatigable, parcourant, par exemple vers vous , son chemin sans rencontrer d’obstacle , depuis l’infini de l’espace puis y retournant ….. Sans manifester autrement sa «  fatigue » que par le glissementde sa fréquence par l’effetDOPPLER ……Pourriez-vous l’imaginer garder sa vitesse c de manière aussi constante , s’ il avait àsurmonter la résistance inflexible d’un espace   soit disant vide mais pourtant, parait-il, doué   d’une rigidité SANS FAILLES et présenté comme débordant d’énergie ???

VOUS VOUS DOUTEZ QUE C’ESTTRES LENTEMENT PAR MES INTERROGATIONS SUCCESSIVES ET LE COMPTE RENDU DE CERTAINES EXPERIENCES   QUE JE VEUX VOUS MENER A LA CONNAISSANCE D’UNE CERTAINE PHYSIQUE OFFICIELLE ET A SES INCERTITUDES !

Revenons donc à notre sujet premier l’intrication et posons-nous la question :

Pourquoi dit-on que lorsqu’ on passe en échelle de physique quantique, deux photons intriqués n’en font plus qu'un ? C’est parce que quand deux particules interagissent, elles se "mélangeraient" comme deux ondess’additionnent pour n'en former qu'une seule. (voici par exemple ma photo du produit de convolution d’une onde par deuxDIRAC dirait Dominique )…..

Et lorsqu'elles se séparent, elles ne forment toujours qu'un seul et même système, quelle que soit la distance qui les sépare ! Du coup, lorsqu'on mesure une caractéristique d'une particule 1, la particule 2 intriquée adopte immédiatement la même valeur, même à grande distance !

Voir ma photo vous décrivant la différence entre le monde « ordinaire » et le monde quantique…..

Je vais être alors contraint de revenir vous parler( pour la Nème fois ) de cette bizarre notionde superposition des états quantiques ….Je vous ai, il y a peu parlé de notredernierNOBEL , SERGE HAROCHE .

. L'équipe de Serge Haroche fabrique ce que les spécialistes de la mécanique quantique appellent entre eux des manips surdes "chatons de Schrödinger" et qui renvoie à un autre phénomène caractéristique du monde de l'infiniment petit : la superposition des états quantiquesDans d’autres de mes articles vous trouveriez ceci expliqué depuis longtemps ….Mais aujourd’hui je travaille pour PIERRE qui oublie vite ce que je lui raconte !Donc si en mécanique quantique, selon le principe de superposition, un même état quantique peut posséder plusieurs valeurs pour une certaine quantité observable et si pour le décrire il est représenté par un vecteur dans un espace vectoriel nommé espace de Hilbert ( postulat de la mécanique quantique) , il résultera quecomme tout vecteur de tout espace vectoriel, ce vecteur admettra une décomposition en une combinaison linéaire de vecteurs …..Par conséquent, si l'on s'intéresse à la position (par exemple) d'une particule, l'état de position doit être représenté comme une somme d'un nombre infini de vecteurs, chaque vecteur représentant une position précise dans l'espace.VOIR MA PHOTO :

(la legende toute petite signifie que le calcul de la fonction dans le coin,  a eté mesurée 5000 fois)

Le carré de la norme de chacun de ces vecteurs représentera la probabilité de présence de la particule à une position dont la superposition d'un état quantique se notera : ƥ=α1C1+α2C2+…+αNCN

C étant le coefficient complexe de la combinaison linéaire, etαi les vecteurs de la base choisie (qui dépend de l'observable…….

Cette combinaison linéaire est nommée état de superposition, car la particule peut être vue comme étant simultanément, avec des probabilités diverses, en plusieurs endroits. L'état de superposition s'applique de la même façon à toutes les autres observables imaginables : vitesse, spin... et même LE CAS mort/vivant dans le célèbre Chatcité ci-dessus

Comme selon l'interprétation de Copenhague de la mécanique quantique, l'état quantique n'a pas de sens physique avanttoute opération de mesure , c’est seulement l'état projeté, après la mesure, qui a un sens physique. Ainsi, selon cette interprétation, ceci ne doit rester qu’ une pure formule mathématique et cette interprétation renie donc formellement toute présentation comme « plusieurs endroits en même temps », ou « mort et vivant ».Mais c’est alors mon lecteurDOMINIQUE QUI SE REVEILLE !

A SUIVRE