Fauve qui peut

Par Blended @blendedph

Comment vous faire comprendre en seule phrase que la poésie de FAUVE risque bientôt d’être adulée par la génération Y rasant au passage tous les chanteurs-imposteurs du genre ? Avec des textes encore plus puissants que ceux d’Orelsan, tout en étant aussi lucide que l’humour de Gaspard Proust, nous en sommes sur, FAUVE a une place à prendre sur le devant de la scène musicale.
Comment maintenant vous présenter en détail ce collectif (de) FAUVE sans dénaturer le propos ? Pour bien faire il suffit de recopier ce qu’ils ont écrit sur eux.
« FAUVE est un projet qui nous permet de formaliser/défendre un certain « propos » qui nous est cher. A l’origine, on était seulement trois et on se contentait de faire de la musique. Ce qui nous rassemblait déjà – en plus d’une amitié de longue date, c’était ce besoin commun de vider le trop-plein avec le moins de contraintes possibles, à une époque un peu pourrave de nos vies respectives. D’où les textes, d’où le français, d’où le parlé.

Peu à peu, d’autres gens ont commencé à s’investir. Des personnes qui se sentaient proches de ce qu’on faisait musicalement et qui souhaitaient collaborer, voire décliner ce « propos » sur d’autres supports. Deux d’entre elles se sont finalement retrouvées intégrées de façon permanente à FAUVE, qui est alors passé du stade de groupe à celui de projet : nous sommes aujourd’hui cinq, soit 4 musiciens + 1 vidéaste.

D’autres personnes collaborent avec nous de façon régulière (photographie, textes, musique) et sont considérées comme faisant partie intégrante de FAUVE, même si rien n’est formalisé. En effet, cet aspect « collectif ouvert » nous importe beaucoup. Les portes sont ouvertes : FAUVE c’est qui veut ».