Voilà la bête !
C'est un chou rouge de mon jardin. Il est pas mal. Il a résisté jusque maintenant, malgré les gelées récentes...
Je suis contente, cette année, je continue à manger des légumes de mon jardin, arrivée mi-décembre !
Et, ce n'est pas fini, j'ai encore un chou rouge, des choux palmier, du chou fourrager, du chou de Daubenton, des choux de Bruxelles, des topinambours, un peu de Roquette et quelques salades (à l'extérieur et dans ma serre) ! Et à la maison des courges et évidemment le congélateur et les armoires sont remplis de fruits et légumes congelés, stérilisés ou déshydratés.
Mon objectif d'atteindre l'autonomie alimentaire commence à prendre forme. L'année prochaine, je compte faire beaucoup mieux !
Bon, revenons à mon chou rouge...
Je suis allée cueillir dans mon jardin un chou rouge.
J'ai laissé sur place les feuilles les plus moches, celles attaquées par les petites bêtes (haaa, la biodiversité !)
J'ai lavé mon chou, j'ai retiré les premières feuilles pour voir s'il était beau à l'intérieur.
Il était parfait !
Je l'ai coupé en deux avec un grand couteau, en prenant soin de ne pas me couper.
Le chou, c'est rond, donc pas très stable.
Je plante mon couteau en haut du chou, je fais une sorte de balancier vers le bas et je continue sur l'autre face...
Je vérifie bien s'il n'a pas subi d'attaques dans son coeur...
... avant de retirer les trognons du bas, avec un plus petit couteau.
J'ai pris ma mandoline.
J'ai coupé mon chou en 4.
Et, j'ai râpé mon 1/4 de chou...
... très finement.
J'ai obtenu un saladier plein.
Les feuilles que j'ai ôté au début et les quelques morceaux que je ne suis pas parvenue à râper, je les ai émincées finement au couteau.
Pourquoi râper finement ?
- Parce que j'ai gardé une partie du chou pour le manger froid.
- Parce que je voulais que mon chou cuise rapidement.
Dans ma prochaine note, je vous indiquerai comment j'ai cuisiné mon chou...