"Belle andouillette cherche joli sandwich pour vie à deux". Benoît Barvin in "Annonces revivalistes"

Publié le 20 décembre 2012 par Benoitbarvin
@@@Pensées pour nous-mêmes:
(N'OUBLIE PAS QUE TU N'ESQUE CE QUE TU VEUX ETRE)

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"Comment ça tu veux divorcer?Je porte pourtant bien la burka, non?"flaggingheadquarters.comÉMIRATS ARABES UNIS • Vie de couple : officialiser la discorde   (...) Avis de tempête sur les couples émiratis. Entre 2009 et 2011, le nombre de divorces a augmenté de 7 % aux Emirats arabes unis. Selon les conseillers matrimoniaux cités par The National, un quotidien d’Abou Dhabi, les difficultés que rencontrent ces couples sont les mêmes que partout ailleurs, avec toutefois une spécificité émiratie : les mariages arrangés. Quand les tensions surgissent, il devient d’autant plus difficile de (re)trouver un terrain d’entente, font valoir ces conseillers matrimoniaux. (...)http://www.courrierinternational.com/article/2012/12/18/vie-de-couple-officialiser-la-discorde@@@
"Hem, hem... On voit des billets dépasser de votre bandage...- N'importe quoi! Vous, vous voulez une part du magot, hein?"
Henrich Kleytodaysinspiration.blogspot.comScandale bancaire en Allemagne   (...) "Le scandale de la Deutsche Bank : la réputation ruinée d'une institution", titre Der Spiegel,après la perquisition musclée ordonnée par le procureur de la République, le 12 décembre à Francfort, au siège de l'établissement. Motif du déploiement de forces sans précédent : graves soupçons de fraude fiscale, spéculation, affaires douteuses, manipulation du bilan, etc (important, les etc...).   Des armées d'avocats s'activent sur les multiples procès, procédures et enquêtes en cours dans lesquels est impliquée la Deutsche Bank – l'un des plus grands établissements bancaires au monde –, avec ses 20 millions de clients et ses 100 000 salariés répartis dans 70 pays. "Toute une série de scandales, ponctue le magazine de Hambourg, qui entache sa réputation et la crédibilité de ses dirigeants", ainsi que la confiance de la clientèle et celle de l'opinion publique. (Poum poumppoumpoum poumpoumpoum poumppoump, air du gentil Nounours de "Bonne Nuit les Petits "z'épargnants?...) (...)http://www.courrierinternational.com/une/2012/12/17/scandale-bancaire-en-allemagne@@@« A force d'être juste, on est souvent coupable. » Pierre CorneilleExtrait du La mort de Pompée radio-canada.caSuicide d’un journaliste   (...) Nul ne sait jamais pourquoi les gens se suicident. Mais peut-on vraiment imaginer qu’un journaliste aussi engagé que Michel Naudy ait supporté le cœur léger de ne plus pouvoir exercer son métier ?   Salarié de France Télévisions, son entreprise (publique) ne lui confiait aucun travail. Depuis plus de quinze ansDans un communiqué publié le 3 décembre, son syndicat, le SNJ-CGT évoque, avec une colère contenue mais discernable, le parcours de Michel Naudy, désormais indissociable de la censure politique dont il fut l’objet de la part de ses employeurs :   Le lutteur a décidé d’en finir. Sa dernière apparition publique aura été pour dénoncer les « nouveaux chiens de garde » dans le film éponyme (1). Les luttes, il les menait depuis sa jeunesse à l’Union des étudiants communistes.   Il les a poursuivies durant sa carrière de journaliste, troquant les assemblées générales pour la plume, comme d’autres avant lui avaient « remplacé la mitraillette de la Résistance par le stylo »D’abord à L’Humanité dont il eut la responsabilité du service politique, fondant parallèlement Politis, puis après 1981 à France 3, où il gravira les échelons pour devenir rédacteur en chef de la rédaction nationale et éditorialiste.   Durant toutes ces années, malgré sa grande honnêteté intellectuelle, sa rigueur, quelques-uns en interne et en externe ne lui pardonneront jamais ses engagements de journaliste-citoyen. Il sera débarqué de son poste, trouvera refuge à France 3 Île-de-France avant qu’une nouvelle fois son magazine « Droit de regard » ne soit censuré en mai 1995, pour avoir exprimé une critique sur la couverture par France 2 du second tour de l’élection présidentielle. C’en était trop, Michel démissionnait de ses responsabilités.   Depuis, voilà plus de quinze ans, il attendait que la direction de France 3, puis de France Télévisions, honore son contrat de travail. Il avait postulé à différents postes de moindre responsabilité en commission paritaire. La dernière fois pour occuper le poste vacant de chef du service politique, qu’il devait une nouvelle fois se voir refuser.   Quiconque a à l’esprit le nom d’un, d’une ou de plusieurs nullités prétentieuses officiant chaque jour sur une antenne de France Télévisions, est enclin à s’interroger sur la justification de la longue mise à l’index d’un journaliste tel que Michel Naudy. (...)Lire sur:http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2012-12-07-Suicide-d-un-journaliste


Lire aussi l’enquête de Laure Daussy, «  Michel Naudy, mort embarrassante d’un journaliste embarrassant, Arrêts sur images, 6 décembre 2012.@@@Benoît Barvin