des ravages de la pensée néo-libérale sur le cerveau de nos dirigeant(e)s

Publié le 06 janvier 2013 par Mister Gdec

Voici un morceau d’anthologie. De quoi alimenter la lutte des classes durablement et significativement. Voilà qui contribuera en outre  par le pouvoir des mots et  la diffusion des idées (j’ai été informé de ce papier par le syndicat CGT – IFOP sur Twitter) à  faire regretter à certains de l’avoir déjà gagnée… Cet article de Marianne, dans lequel la représentante du Medef « ose brandir la menace de destructions d’emplois supplémentaire pour échapper à toute taxation des contrats précaires abusifs« … ça ne va pas faciliter les négociations, ça, si je ne m’abuse… C’est la guerre ! Et cette fois, c’est nous qu’on va la gagner. Agissons.

C’est à lire, en écho :

le parachute doré de François Chérèque

géographie de la pauvreté en France

Stop ou encore ?  Par le Mouvement des Objecteurs de Croissance, Michel Pesant, dont j’extrais à dessein ceci :

Nous avons toujours su qu’il faut, mathématiquement, beaucoup de « pauvres » pour faire un seul « riche ». Mais dans un pays sans croissance qui continue pourtant d’en réciter le catéchisme, nous pouvons prévoir qu’il faudra de plus en plus d’« appauvris » pour que quelques-uns continuent de s’enrichir de plus en plus.

Ce qui signifiera de plus en plus d’indécences, de plus en plus d’irresponsabilités écologiques, de plus en plus d’injustices sociales, de plus en plus d’atteintes à la démocratie ; bref, de plus en plus de croissance…

De plus en plus de rage devant des polémiques faussées.