János Pilinszky – Damnation (Kárhozat)

Par Stéphane Chabrières @schabrieres

Bien que règne le néant,
le monde continue à battre.
les artères à transporter le sang,
la main fait un noeud, tourne la clef,
frotte une allumette et fait le lit pour la nuit.

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János Pilinszky (1921-1981) – Traduction de Lorand Gaspar et Sarah Clair