Dodge Durango 2013 : maintenant monté sur un châssis monocorps

Publié le 04 mars 2013 par Critiqueauto

Est-ce que la division Dodge, de Chrysler, ne serait pas en train de faire une erreur en appliquant le badge R/T sur tous les véhicules de sa gamme ? Une Charger ou une Challenger, je veux bien ! Mais entre vous et moi, un Dodge Durango R/T ou un Dodge Journey R/T, est-ce vraiment pertinent ? Et est-ce que cette façon de faire ne vient pas diluer ou réduire la valeur de ce badge qui fait référence à des performances plus relevées sur la route et sur la piste (Road and Track) ?

Mécanique

Offert en quatre versions, soit SXT, Crew Plus, R/T et Citadel, le Dodge Durango propose deux mécaniques. Primo, le V6 Pentastar de 3,6 litres à double arbre à cames en tête qui développe une puissance de 295 chevaux à 6 400 tours par minute et qui produit un couple de 260 livres-pieds à 4 800 tours. La boîte de vitesses retenue par Chrysler pour gérer la puissance du V6 est la vieille automatique à 5 rapports.

Secundo, Chrysler propose son fameux moteur V8 HEMI de 5,7 litres à arbre à cames central qui génère une puissance de 360 chevaux à 5 150 tours par minute et un couple de 390 livres-pieds à 4 250 tours. Cette mécanique est de série dans la version R/T et offerte en option dans la Crew Plus et la Citadel. Elle est également dotée de la technologie de désactivation des cylindres pour permettre une économie sur la route à vitesse de croisière. Dans le cas du V8, la boîte de vitesses offerte est la toute nouvelle automatique à 8 rapports.

Habitacle et carrosserie

Redessiné en 2011, le Dodge Durango n’a pas beaucoup évolué depuis. Il s’agit d’un véhicule multisegment qui propose sept places. Pour 2013, il a quand même subi quelques petits changements mineurs, surtout en termes d’équipements offerts. L’effet visuel dans l’habitacle est impressionnant. Dodge s’est en effet débarrassée des plastiques durs de qualité douteuse. Les commandes sont simples et les cadrans, faciles à consulter. Le cuir des sièges est de belle facture.

Avec sa suspension à roues indépendantes, sa direction des plus précises, ses puissants freins et ses grosses roues de 20 pouces, on peut dire qu’il est maintenant agréable à conduire. Il est également facile de trouver une excellente position de conduite. En termes d’équipement de série, on trouve les vitres à commande électrique, le climatiseur, la chaîne audio avec la radio par satellite, le volant réglable et télescopique et trois rangées de sièges. Pour ce qui est du reste, il faut monter en gamme pour se procurer les autres options et les ensembles proposés par Chrysler.

Conclusion

It might be less Ram-like than ever, but the Dodge Durango’s a handsome SUV from almost every angle, and it has one of Dodge’s best interiors.

Conclusion

La bonne nouvelle quand on considère le Dodge Durango, c’est qu’il repose désormais sur un châssis monocorps et non sur un châssis de camion comme c’était le cas des anciennes versions. Cela en fera donc un véhicule plus passe-partout, plus confortable et plus silencieux que son prédécesseur. Il sera donc plus convivial sur les longues distances.

Richard Roch