On peut être originaire de Bristol et rester fidèle aux grandes influences de L.A. et de Seattle. Malgré un chant parfois un peu poussif, The Bad Joke That Ended Well parvient avec ce second album à nous plonger dans les ambiances rock psychédéliques de la fin des 60's, début 70's tout en y a mêlant l'univers vocal torturé d'un Kurt Cobain. Ajoutons-y quelques sonorités blues rock et voilà un album délicieusement vintage dont il serait dommage de se priver.
Instrumental en version live extrait du premier album The Meteors are Coming