Je vais développer cette idée en quatre billets. Celui-ci présente la philosophie générale de mon approche, les 3 prochains la déclinent à l’Etat, l’entreprise et l’individu.
Nous devons changer pour ne pas changer
L’idée à laquelle je suis arrivé il y a fort longtemps est qu’il existe une troisième voie. Changer pour ne pas changer. Il faut changer, mais par différenciation, en affirmant notre unicité. Alors, la pression concurrentielle, cette injonction permanente à la « compétitivité » qui nous broie, disparaîtra. Et nous aurons les moyens de construire cette différence. Quant on a un cap, le changement est une question de technique, pas de grand soir. C’est pour cela que j’écris.