Sean Penn, l’anti-hommage

Publié le 16 avril 2008 par Juval @valerieCG

C’est quoi ce délire autours de Sean Penn ?


Tout le monde rend hommage à Sean Penn sous pretexte qu’il est Président du Festival de Cannes, sexy, intelligent et talentueux, mais

- Il ne ressemblait à rien quand il était avec Madonna. C’est pas pour rien qu’on les appelaient «les pénibles». Dans le genre je me prend pour James Dean il se posait là.

- Depuis quand il n’a pas eu besoin d’aller en rehab ?

- Il n’a jamais été scientologue (la honte) ni même épousé une scientologue (attendez, je me renseigne sur Madonna, on n’est pas à l’abri)

- Il n’est pas bling bling. Il n’a pas de rolex, n’est pas pote avec Lagardère, n’a pas épousé un ex-mannequin et ne joue pas au jeux des 7 erreurs avec Berlusconni.
- Il n’est ni noir, ni juif, ni gay, ni musulman, ni une femme, ni handicapé, ni né dans le ruisseau d’une famille désunie. Du coup je me demande à quoi il sert.

- Il n’a pas joué dans la fête à la maison ni les années collèges ni madame est servie ; ils sont où les standards et grands classiques ?

- Il n’a pas à ma connaissance porté de talons aiguilles 2 jours de suite et entre les deux une nuit blanche avec la classe et la stature qui s’impose, il n’a donc rien connu. Tu parles d’un aventurier rebelle sans concession

- Il n’a pas adopté un petit enfant d’Afrique ni du Laos (et ça se dit humaniste)

Plus sérieusement, Sean Penn devrait être à l’affiche d’un prochain Gus Van Sant. Après quoi je pourrai mourir. Il y retrouvera Emile Hirsch, le (très sexy) acteur principal de Into the Wild.