DVDtrafic : Lancement de la dixième édition, un DVD contre une critique

Par Cinetrafic

Salut à vous cinéphiles du net !

Nous sommes heureux de vous annoncer le lancement de la dixième édition de DVDTrafic, le programme gratuit de promotion du Cinéma sur le web qui associe Cinetrafic, les distributeurs et éditeurs de DVD et les blogueurs Cinéma.

Nous avons rassemblé plus d’une vingtaine de titres différents pour plusieurs distributeurs.

Le principe de ce programme réservé aux blogueurs reste inchangé: Un DVD contre une critique.

La liste des titres mis à disposition est visible en fin de ce post ou, plus directement via la liste sur le site.

Une fois de plus, il y en a pour tous les goûts. Que vous soyez portés sur des films d’auteurs, des oeuvres sorties au cinéma, du film d’araignées géantes (si, si), des documentaires ou films rares…

Rappel du fonctionnement de DVDtrafic :

Recevez chez vous gracieusement des DVD et faites en votre critique publique. Il n’y a rien d’autre à comprendre : un DVD en échange d’une critique, c’est tout simple.

1-   Pour participer, il vous suffit d’être membre de Cinetrafic (inscription rapide, gratuite et sans engagement) et de tenir un blog ou de participer à son contenu.

2-   Vous choisissez dans la liste un ou plusieurs DVD que vous souhaiteriez recevoir et critiquer. Vous nous envoyez un mail à l’adresse dvdtrafic@cinetrafic.fr en nous disant quels sont les DVD que vous souhaiteriez recevoir. Envoyez- nous une liste d’une dizaine de titres de votre choix afin d’être sûr de pouvoir recevoir au moins un DVD. Signalez-nous aussi votre identifiant sur le site, votre blog et son url et le plus important, votre adresse pour les envois.

3-   Certains films sont disponibles en Blu-Ray et en DVD, veuillez préciser sous quel format vous souhaitez le recevoir si ce n’est pas indiqué (généralement quand c’est du blu-ray c’est précisé).

4-   Nous sélectionnons les membres gagnant le droit de recevoir les produits et nous les leur envoyons par la poste (Sélection en fonction de la réactivité des blogueurs et de la limite des exemplaires disponibles pour chaque titre).

5-  Les membres ayant reçu un DVD s’engagent à regarder le film et les compléments du DVD (si possible) et en publier une critique dans les 15 à 20 jours qui suivent sa réception. La critique sera publiée à la fois sur le blog et sur Cinetrafic.

Le membre s’engage à citer les références produit fournies par DVDtrafic et relatives au DVD qu’il a reçu, et à n’en faire aucun usage commercial ni en diffuser des passages.

Pour participer au programme, il vous suffit de nous envoyer un mail à dvdtrafic@cinetrafic.fr en nous disant quels sont les DVD (dans l’ordre) que vous souhaiteriez recevoir. N’hésitez pas à proposer plusieurs choix afin de pouvoir être placé sur un ou plusieurs de ces titres suivant les disponibilités.

La sélection de l’opération :

Un jour de Chance – Alex de la Iglesia.

Ancien publicitaire à succès désormais sans emploi, Roberto ne supporte plus d’être au chômage. Désespéré, il veut faire une surprise à sa femme en l’invitant dans l’hôtel qui fut le théâtre de leur lune de miel. Mais l’établissement a laissé place à un musée, sur le point d’être inauguré et présenté à de nombreux journalistes. Au cours de sa visite, Roberto fait une grave chute… En quelques minutes il devient l’attraction numéro 1 des médias présents et comprend que cet accident pourrait finalement lui être très profitable…

L’Allemagne, l’art et la nation – Jean-Baptiste Péretié.

Comment l’art et les artistes ont-ils été l’un des fondements essentiels de la nation allemande au moment de son unification ? Comment en ont-ils ensuite permis l’affirmation et l’expression la plus éclatante ? Comment ont-ils accompagné ou rejeté en bloc ses dérives les plus noires ? Et comment ont-ils, enfin, participé à son travail de mémoire ?

Du romantisme à l’expressionnisme, du Symbolisme à la Nouvelle Objectivité, de « l’art héroïque » à « l’art dégénéré », faire une histoire de l’art allemand, c’est parler de courants esthétiques fondamentaux, c’est parler d’artistes visionnaires ou révolutionnaires, c’est évoquer des villes ouvertes sur le monde et des périodes sombres et tragiques. C’est faire une histoire à la fois culturelle, sociale et politique dans laquelle les créateurs et les oeuvres ont été les acteurs incontournables des tourments et des espoirs d’une nation.

Arbitrage – Nicholas Jarecki.

Robert Miller est l’un des magnats les plus puissants de la finance new-yorkaise. Fort d’une réussite exemplaire, entouré de sa femme, Ellen, et de ses enfants – dont sa brillante fille, Brooke –, il incarne à lui seul le rêve américain. Pourtant, au-delà des apparences flamboyantes, Miller est piégé. Il doit à tout prix vendre son empire à une grande banque avant que l’on ne découvre l’ampleur de ses fraudes. La liaison qu’il entretient avec Julie, une jeune marchande d’art française, complique aussi sa vie privée… Alors qu’il est à deux doigts de conclure la transaction espérée, une erreur de trop va le mêler à une affaire criminelle…

Cogan : killing them softly – Andrew Dominik.

Lorsqu’une partie de poker illégale est braquée, c’est tout le monde des bas-fonds de la pègre qui est menacé. Les caïds de la Mafia font appel à Jackie Cogan (Brad Pitt) pour trouver les coupables. Mais entre des commanditaires indécis, des escrocs à la petite semaine, des assassins fatigués et ceux qui ont fomenté le coup, Cogan va avoir du mal à garder le contrôle d’une situation qui dégénère…

Diana Vreeland, l’oeil doit voyager – Lisa Immordino Vreeland, Bent-Jorgen Perlmutt, Frédéric Tcheng.

Diana Vreeland, personnalité hors norme, brillante, excentrique, aussi charmeuse qu’impérieuse. Rédactrice en chef du Harper’s Bazaar puis de Vogue, elle régna 55 ans durant sur la mode et éblouit le monde par sa vision unique du style.DIANA VREELAND : L’OEIL DOIT VOYAGER est à la fois un portrait intime et vibrant hommage à l’une des femmes exceptionnelles du XXème siècle, véritable icône dont l’influence a changé le visage de la mode, de l’art, de l’édition et de la culture en général.

Architectures – Richard Copans, Stan Neumann.

Un bâtiment, un grand architecte, des maquettes : une passionnante plongée dans l’architecture…

Une estonienne à Paris – Ilmar Raag.

Anne quitte l’Estonie pour venir à Paris s’occuper de Frida, vieille dame estonienne installée en France depuis de nombreuses années. A son arrivée, Anne se rend compte qu’elle n’est pas désirée. Frida tente par tous les moyens de la décourager. Elle n’attend rien d’autre de la vie que l’attention de Stéphane, son jeune amant d’autrefois. Anne résiste à sa manière. A son contact, Frida va retrouver sa fougue d’éternelle séductrice.

L’étrangleur de Boston – Richard Fleischer.

Boston, au début des années 1960. Deux femmes sont retrouvées étranglées à leur domicile à quelques jours d’intervalle. Au cours des deux années suivantes, plus d’une dizaine d’autres femmes sont assassinées dans des circonstances similaires, distillant un sentiment d’insécurité et une paranoïa sans précédent dans toute la ville. John S. Bottomly est désigné pour prendre l’affaire en main…

Hors les murs - David Lambert.

Paulo, un jeune pianiste, rencontre Ilir, un bassiste d’origine albanaise. Aussitôt, c’est le coup de foudre. Du jour au lendemain, Paulo quitte sa fiancée pour s’installer chez Ilir. Le jour où ils se promettent de s’aimer pour la vie, Ilir quitte la ville et ne revient plus.

Pushing the limits – Thierry Donard.

Flirter avec les limites, cela procure sans doute des sensations uniques proches de l’extase pour ces sportifs hors du commun appelé freeriders. Ils sont pour la plupart devenus des stars du web où leurs exploits sont médiatisés. Leur terrain de jeux : une nature sauvage, dans des lieux où de tels exploits semblaient irréalisables il y a peine 2 années encore.Repousser les limites n’est pas un vulgaire jeu avec la mort, mais avant tout le propre de l’homme en quête d’exploration des frontières de l’inconnu. Au rythme des fuseaux horaires, à la recherche de l’énergie générée par une nature puissante, véritable conjugaison des éléments, Pushing the Limits retrace l’histoire de ces individus hors du commun.

Genpin – Naomi Kawase.

Une maternité au cœur de la forêt près d’Okazaki au Japon. Les femmes viennent là de tout le pays loin du tumulte et de la tension des villes modernes. Le Docteur Yoshimura âgé de 78 ans y pratique un accompagnement naturel à l’accouchement depuis des décennies. Autour de la question de la vie, un portrait en creux de la condition des femmes japonaises d’aujourd’hui se dessine.

Les fraises des bois – Dominique Choisy.

Violette vit chez ses parents, de riches propriétaires agricoles. Gabriel, est caissier dans un supermarché. En apparence, ces deux personnages discrets sont sans histoire. Pourtant, ils étouffent dans leur quotidien et cachent chacun de sombres secrets.

Télé Gaucho – Michel Leclerc.

Tout a commencé lorsque les caméscopes ont remplacé les caméras. Faire de la télé devenait alors à la portée de tous. Jean-Lou, Yasmina, Victor, Clara, Adonis et les autres ne voulaient pas seulement créer leur propre chaîne de télé, ils voulaient surtout faire la révolution. Ainsi naquit Télé Gaucho, aussi anarchiste et provocatrice que les grandes chaînes étaient jugées conformistes et réactionnaires. Cinq années de grands foutoirs, de manifs musclées en émetteur pirate, de soirées de beuveries en amours contrariées… et ce fut ma parenthèse enchantée.

Spiders – Tibor Takács.

Suite au crash d’une station spatiale russe, on retrouve dans les débris une nouvelle espèce d’araignées mutantes et extrêmement dangereuses. Une fois sur Terre, les araignées grossissent à vue d’oeil jusqu’à atteindre plusieurs mètres. En quelques heures, c’est l’invasion totale et le chaos dans les rues de New York : la catastrophe ne fait que commencer.

Le ranch (série) – Monica Maaten.

Léna a 14 ans et un don particulier : elle sait communiquer avec les chevaux. Mais lorsqu’elle perd Zabou, sa jument, Léna ne veut plus remonter à cheval. Jusqu’à ce que, par une nuit d’orage, elle sauve un cheval sauvage. Mais elle devra avec ses amis Angelo, Anaïs et Hugo se battre pour le garder auprès d’elle. Elle l’adopte et le baptise Mistral mais comment faire pour l’apprivoiser ? Une aventure dans laquelle elle entraîne ses amis qui l’aident à réaménager l’ancienne maison de son grand-père, pour prendre soin de Mistral et de leurs autres chevaux : Le Ranch !

Possédée – Ole Bornedal.

Clyde et Stephanie Brenek ne voient pas de raison de s’inquiéter lorsque leur fille cadette Em devient étrangement obsédée par un petit coffre en bois acheté lors d’un vide grenier. Mais rapidement, son comportement devient de plus en plus agressif et le couple suspecte la présence d’une force malveillante autour d’eux. Ils découvrent alors que la boîte fut créée afin de contenir un Dibbuk, un esprit qui habite et dévore finalement son hôte humain.

The plague dogs – Martin Rosen.

Deux chiens, Snitter et Rowf, s’évadent d’un laboratoire de recherche et essaient de survivre avec l’aide d’un renard futé, The Tod. Alors que le directeur du laboratoire essaie de cacher cette évasion, des brebis sont retrouvées mortes et une rumeur se repend : les chiens seraient porteurs de la peste…

Kinshasa Symphony – Martin Baer, Claus Wischmann.

Dans l’obscurité totale, deux cents musiciens jouent la neuvième symphonie de Beethoven « L’hymne à la joie », une panne de courant intervient quelques mesures avant l’achèvement du dernier mouvement, mais pour les membres du seul orchestre symphonique du Congo, ceci est le dernier de leurs soucis. En quinze ans d´existence la formation de l´Orchestre

Symphonique a survécu à deux coups d’état et une guerre civile, heureusement il y a la passion pour la musique et l’espoir d’un avenir meilleur. Kinshasa Symphony accompagne des hommes et des femmes qui dans l’une des métropoles les plus chaotiques au monde s´attèlent à l´un des systèmes les plus complexes de la vie commune: Un orchestre symphonique. Ce film fait le portrait du Congo d’aujourd’hui, des habitants de Kinshasa et de leur amour pour la musique.

Take this waltz – Sarah Polley.

Quand Margot, 28 ans, rencontre Daniel, l’alchimie est immédiate. Épouse heureuse de Lou, elle réprime cette attirance aussi soudaine qu’inattendue. Lorsqu’elle découvre que Daniel habite depuis peu dans sa rue, Margot voit ses certitudes vaciller.

Nous, les enfants du XXème siècle – Vitali Kanevsky.

« Nous, les enfants du XXème siècle » met en scène des enfants des rues de Saint-Petersbourg : vagabonds inoffensifs, « fumeurs précoces », mais aussi cambrioleurs et mêmes meurtriers. L’effondrement des tabous et de l’autorité établie a considérablement diminué leurs inhibitions. Même leurs parents ne placent plus aucune ambition en eux. Dans ce néant social, qui va montrer à ces enfants ce à quoi la vie doit ressembler ?

Vitali Kanevski accompagne le spectateur dans une descente aux enfers et explore l’âme de criminels, petits et grands : bien que victimes de la société, ces derniers peuvent-ils être absous de toute responsabilité morale ?

Kill dead zombies - Erwin van den Eshof, Martijn Smits.

Un virus mortel se répand après le crash d’un satellite russe, transformant toute la ville en zombies assoiffés de sang. Appelée à l’aide par une rescapée piégée dans un immeuble envahi, une poignée de survivants s’allie pour tenter une ultime mission de sauvetage…

Inside – Andrés Baiz.

Adrian et sa petite amie Belen sont jeunes et très amoureux. Mais lorsque Bélen commence à douter de la fidélité d’Adrian, elle décide d’éprouver ses sentiments en lui faisant croire qu’elle a disparu. Elle s’enferme alors dans une pièce secrète de la maison dont elle seule connaît l’existence. Dans sa précipitation, elle oublie la clé à l’extérieur. Piégée derrière un miroir sans tain, elle va assister impuissante à la nouvelle vie d’Adrian sans elle… ou presque.

Une famille respectable – Massoud Bakhshi.

Arash est un universitaire iranien qui vit en Occident. Il retourne donner des cours à Chiraz où vit sa mère, loin de Téhéran. Entraîné dans un tourbillon d’intrigues familiales et financières, il replonge dans un pays dont il ne possède plus les codes. A la mort de son père, découvrant ce qu’est devenue sa « famille respectable », il est contraint de faire des choix.

La leçon de piano – Jane Campion.

La Leçon de piano raconte l’histoire au XIXe siècle d’une jeune femme écossaise, Ada MacGrath, envoyée en Nouvelle-Zélande par son père avec Flora, sa fille de neuf ans pour épouser un colon, Alistair Stewart qu’elle ne connait que par courrier. Selon ce que sa fille Flora aime à raconter, Ada n’a pas dit un mot depuis que son premier mari est mort foudroyé alors qu’ils chantaient tous deux dans la forêt (Ada était chanteuse d’opéra et son mari était son professeur de piano). Mais, en réalité, c’est pour une raison inconnue qu’elle n’a plus dit un mot depuis l’âge de six ans et qu’elle a donc recours au langage des signes pour s’exprimer (sa fille servant d’interprète) et à son piano.

Cependant, son nouveau mari, ne comprenant pas l’intérêt vital du piano pour sa nouvelle femme, l’abandonne sur la plage où cette dernière, sa fille et leurs bagages ont été débarquées sans cérémonie du bateau qui les a transportés depuis l’Écosse. Stewart échange l’instrument contre des terres à leur voisin George Baines. Ada veut récupérer son piano, seul moyen par lequel elle arrive à exprimer ce qui vibre en elle…