Le gars de l’OPIAM a fait un boulot remarquable que je vous invite à découvrir dans son billet consacré à cette histoire, « Léon Degrelle, comme il l’explique très bien en le contextualisant par moult détails, était en effet un journaliste belge collaborationniste, engagé volontaire dans la Wehrmacht puis dans la Waffen-SS, et décoré par Hitler en personne de la Ritterkreuz (croix de chevalier de la Croix de Fer). Un nazi donc. Un parti assez étrange qui commence à relever de l’obsession pathologique chez ce pseudo journaliste… D’autres, qui pourraient avoir davantage ses faveurs que ce satan deMélenchon, qu’il combat si âprement dans sa folie personnelle (allant même jusqu’à menacer physiquement ceux qui ont l’audace de le contredire) peuvent toujours lui rétorquer que l’image du coup de balai a été utilisée par Royal et Moscovici, qui ont eux aussi appelé à un « coup de balai », qu’importe, il persiste et signe. Et semble entré dans une logique de repli qui caractérise la maladie psychique qui consiste à zapper tous ceux qui ne sont pas d’accord avec lui, même quand ils s’adressent à lui sans haine, ni la moindre d’agressivité, comme le prouve le billet déjà cité de l’ami d’Opiam. Lui aussi l’a appris à ses dépends, puisque l’hystérique l’a menacé des foudres de la justice pour le faire taire, n’hésitant pas à utiliser la force de frappe de son journal pour se faire. Jusqu’où ira cette escalade, que n’arrête pas le ridicule ? Il me semble que la justice devrait à présent s’en mêler, car elle seule semble pouvoir arrêter la folie destructrice de cet homme, qui se réfugie derrière son statut de journaliste pour nuire, n’hésitant pas à recourir à la diffamation et à l’amalgame outrancier. Une stratégie dont on se demande d’ailleurs si elle n’est pas cautionnée et soutenue par la garde rapprochée d’Hollande, puisque plusieurs d’entre les cadres socialistes en ont utilisés les ressorts à plusieurs reprises, comme je l’ai expliqué notamment ici. L’amalgame avec le FN ne suffisant pas, on bascule à présent dans le nazisme. Il faut que cela cesse. ça fatigue. Nous ne sommes plus en effet sur le terrain politique, mais sur celui du dénigrement systématique, face auquel les arguments traditionnels n’ont plus de poids. Donc, la justice. Point barre.