Définitions #63.

Publié le 13 mai 2013 par Leshakerdecyril

Lu : Comment diable un homme peut-il se réjouir d’être réveillé à 6h30 du matin par une alarme, bondir hors de son lit, avaler sans plaisir une tartine, chier, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se débattre dans le trafic pour trouver une place, ou essentiellement il produit du fric pour quelqu’un d’autre, qui en plus lui demande d’être reconnaissant d’avoir cette opportunité ? Charles Bukowski, factorum, 1975

A fond : Get Outta My Way, tout est dans le titre…

J’attaque : Femmes de dictateur 2, c’est une addiction !

XY : Finalement les relations des hommes et des femmes sont de plus en plus complexes, l’absence du dialogue, la véritable motivation du partage à deux, combler cette solitude chronique, sortir de la réalité économique dans un pas de deux… rien ne reflète m’ont expérience, juste mon observation, mes réflexions, et mes oreilles qui glissent dans la vie des autres.

Gore : Sortir à main nue les yeux des orbites et donc possible. Je reste admiratif.

Nuit de l’horreur : C’était une nuit formidable avec du bon vin et des bonbons, on a juste trouvé que Shining avait pris un coup de vieux mais que Jack reste le meilleur.

Reprise : Avec ma journaliste préférée, belle, divine, intelligente, captivante, je recommence à travailler le lundi pour « Parents » sur le thème « Codage verbal sur les réseaux sociaux », on va se marrer je crois, c’est même certain. Hâte.

… : tu sais.

Collaboration : Faut vraiment que je me pose et que je trouve le temps pour cette collaboration qui s’annonce avec mes deux sorcières. Y’a de la profondeur chez ses deux femmes, elles me fascinent, je ne devrais pas le dire, j’espère que nous allons pouvoir garder ce mystère qui enveloppe notre image numérique.

Degrés : Dimanche, Gewurztraminer vendanges tardives avec ma crevarde adorée, lundi bière en terrasse avec mon pote de galère, mercredi du vin et des bonbons avec trois femmes, vendredi whisky avec re-pote de galère… avec modération.

Photo : Oui j’ai osé afficher mon corps.