Cannes 2013 : Notre palmarès

Par Cannes En Live !

par Olivier
le 26 mai 2013 à 15:31

Voici le palmarès Canns en Live 2013. Comme chaque année, nous rappelons qu'il ne s'agit pas d'un pronostic du palmarès du Jury qui sera révélé ce soir.

A l'unanimité, notre palme d'or est La vie d'Adèle . Au point que nous aurions aimé aussi attribuer le prix de la mise en scène à son réalisateur, Abdellatif Kechiche , et le prix d'interprétation féminine à Adèle Exarchopoulos, LA révélation de ce Festival. Mais rappelons-le, le film dérochant la palme d'or ne peut recevoir d'autre prix. Si Steven Spielberg et son Jury ont autant aimé le film que nous, ils auront à faire face à ce véritable déchirement pour établir leur palmarès.

Unanimité également pour le passé d'Asghar Farhadi comme Grand Prix, et pour l'interpretation de Michael Douglas/Matt Damon dans Ma vie avec Liberace de Steven Soderbergh, au coude à coude avec Oscar Isaac dans Inside Llewyn Davis .

Avec une sélection 2013 aussi bonne, la suite de notre palmarès a été plus difficile à établir. Nous tenions à y voir Inside Llewyn Davis des frères Coen, La Grande Bellezza de Paolo Sorrentino, et La Vénus à la fourrure de Roman Polanski.

Quant à l'interprétation féminine, à défaut de pouvoir décerner le prix à Adèle Exarchopoulos, nous avons choisi Marine Vacth dans Jeune et Jolie . Ce n'est pas que Bérénice Béjo et Emmanuelle Seigner aient démérité, mais La Vénus à fourrure et le passé avaient déjà un autre prix dans notre palmarès, que voici :


Palme d'Or
La Vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche
Grand Prix du jury
Le passé d'Asghar Farhadi
Prix du jury (Ex aequo)
Inside Llewyn Davis de Ethan Coen, Joel Coen
La Grande Bellezza de Paolo Sorrentino
Prix de la mise en scène
La Vénus à la fourrure de Roman Polanski
(A défaut de pouvoir décerner ce prix à Abdellatif Kechiche)
Prix du scénario
Borgman de Alex Van Warmerdam
Prix d'interprétation masculine
Michael Douglas et Matt Damon pour Ma vie avec Liberace de Steven Soderbergh
Prix d'interprétation féminine
Marine Vacth pour Jeune et Jolie de François Ozon
(A défaut de pouvoir décerner ce prix à Adèle Exarchopoulos)