Nicolas, prisonnier politique dans la France socialiste de 2013

Publié le 19 juin 2013 par Tchekfou @Vivien_hoch

Prisonnier politique en France socialiste (2013)

Communiqué de Prisonnier politique  à propos de la mise en détention arbitraire de Nicolas, un militant contre le mariage gay.

Nicolas Toujours en prison, ça fait maintenant le 6e jour. Deuxième période de trois jours, deuxième passage au « dépôt » au milieu des criminels pris en flagrant délit. Le jeune pacifiste est traité comme le pire des terroristes. Quelle autre critique avoir envers ce régime ? À voir seulement le traitement inhumain d’un étudiant pacifiste, l’acharnement à vouloir en faire un prétendu chef qui paierait pour les autres, on peut comprendre que le mot justice a peut être un sens dans ce pays, mais qu’il n’a pas de ministère. — - Aujourd’hui dans ce pays il y a un Incompétent en chef, un ministre Zayro, un responsable de l’oppression, de la police politique et des gazages, et une chargée de la destruction des familles, de l’injustice en bande organisée. Qui ne reconnaîtrait pas les personnes concernées ? Si tout le monde comprend c’est qu’il faut dépasser la critique et passer aux actes… — - Hier soir… On était nombreux à chanter. Les policiers ont essayé de mettre un double vitrage pour que notre ami opprimé n’entende pas nos chants de soutien, mais nos voix pouvaient rejoindre les oreilles de notre compagnon ! Son avocat nous a chaudement remercié, sa mère était émue, fragilisée par la crainte pour l’avenir de son fils, outrée par ces persécutions ciblées… Et nous avons chanté… Car c’est un camarade derrière les barreau…

 
Nicolas est jugé dans l’après-midi du 19 juin. Communiqué de Prisonnier Politique :

Aujourd’hui, au Tribunal, autour de lui, nous serons là. N’en déplaise à Taubira. COMPARUTION IMMÉDIATE : SOUTIEN IMMÉDIAT. Victime de l’acharnement policier, après 6 jours de prison, Nicolas va être jugé une seconde fois. Cet après midi à partir de 13h30, 16e chambre 1. Amis qui venez : calme, silence, pas de symboles visibles dans le palais.